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[Quand je glande au boulot]dévellopement de BG Sin City

Posté : jeu. 07 juil. 2005 23:23:28
par Bunker
Comme vous avez pu le constater, j'ai réaliser un BG assez détaillé pour mon personnage dans le RP Sin City. Cela s'explique par le fait que j'ai déjà, joué un petit scénar dans cet univers masterisé par Zorgman.

Donc je me faisais chier cette après midi au boulot, mon chef c'était fait la malle pour une réunion, et comme je suis un travailleur acharné, j'ai fini tout mon travail en avance. Et figurez vous que j'adore raconter des histoires où les écrires, je me suis donc mis en tête de décrire la sortie de prison de Denis Hartman, pour passer le temps et accomplir mon quotas d'heure de la journée.

Bon je ne suis pas un écrivain talentueux, le style laisse un peu à désirer. J'attend vos critiques, je ne me sens pas encore le courage de me lancer dans la un roman mais on ne sait jamais...
Denis est habillé d?un tee-shirt blanc sale trop court qui lui colle à la eau, de son jean large, et de sa paire de santiags qu?il portait quand il est arrivé neuf ans plus tôt.
La nuit est tombée depuis un moment, il doit être presque 23h00, un petit vent froid hérisse les poils sur ses bras, il n?y prend pas garde, voilà neuf ans qu?il attend se moment là.
Il avance vers la porte qui se trouve de l?autre côté de la cour , un gardien en uniforme bleu le regarde s?avancer, il a un énorme fusil à pompe dans les mains :
« Arrêtes toi là ! » aboie le garde avec autorité.
Denis obéit, il serait du plus mauvais goût de déclencher une bagarre maintenant. L?homme se tourne vers la lourde porte en fer, rongée par la rouille, il prend la poignée à deux mains et tir en arrière, la porte résiste un moment puis s?ouvre doucement en raclant le sol.
- Dégages ! T?es libre.
Denis avance et franchit la porte. Ça y est, il savoure ses premières secondes de liberté.
Il regarde en l?air et aperçoit les étoiles. Puis il baisse les yeux et aperçoit la ville.
Sin City, son enfance et toute sa vie.
La porte derrière lui se referme. Il n?y a plus aucun bruit. Il écoute un moment le silence, puis se met en marche.
Il reconnaît certaines choses, il en découvre d?autres, la ville a eu le temps de changer elle aussi.
Sans s?en rendre compte, il arrive dans son quartier. Tout est calme, sauf le bar du vieux Jack.
Il approche, un videur se tient à l?entrée et le dévisage, il fait quasiment deux mètres, bâtit comme un boxeur avec le regard mauvais. Ça aussi n?a pas changé, les Balourds imposent toujours leurs protecteurs aux commerçants dans le quartier. Il lève la tête malgré lui pour pouvoir regarder Denis dans les yeux. Denis lui sourit.
- Casses toi ducon ! T?as vu comme t?es fringué ! On veut pas de toi ici. Va faire la manche ailleurs. Dit l?autre avec une voie rauque et agressive.
Denis sourit de plus belle :
- Je rentre si je veux.
- Je te le répéterais pas, dégages d?ici ! Où je te casse la gueule.
- Ecoutes ! J?ai pas envie de te faire mal, pousse toi juste de la porte ?
Dans la pénombre, le videur sort un objet de sa poche ? un couteau à cran d?arrêt, les réflexes reprennent le dessus, le poing de Denis part comme l?éclair et frappe l?homme en dessous du menton, l?autre décolle du sol, il n?est pas encore retombé qu?un autre poing vient le cueillir dans l?abdomen, son corps est projeté en arrière, il effectue un petit vole plané, passe par la porte, atterrit lourdement sur le dos, glisse et heurte le mur. Il reste allongé.
Denis rentre, les discutions se sont tues pendant un moment mais elles reprennent comme si rien ne s?était passé.
L?air est obscurci par la fumée des cigarettes, un air de jazz passe en musique de fond, une danseuse se déhanche sur une estrade, et le vieux Jack est là. Voilà plus de quarante ans que le vieux Jack est là, derrière son bar, tout les soirs. Denis le connaît bien, c?est l?un de ses seul ami, il se rappel quand le vieux Jack le cachait quand il était poursuivit par les flics pour avoir tabassé un gars, le jour où il lui a appris à démonter son premier flingue, le jour où il lui a offert sa première p**e, des moments qui comptent dans la vie d?un homme. Le vieux Jack avait remplacé le père qu?il n?avait jamais eu.
Mais l?age commence à se faire sentir sur le vieux bonhomme toujours souriant : les rides se sont creusées sur sont visage, son dos s?est un peut courbé, ses cheveux sont désormais complètement gris, et son regard est moins vif qu?avant.
- Denis ? C?est toi ?
La voie est vieille mais pleine de chaleur, et de bonne humeur.
- Bon Dieu mais oui, c?est bien toi ! Viens t?asseoir non de Dieu et bois un coup.
Denis sourit, le vieux Jack n?a pas changé.
- Salut Jack ! Il avance et prend une chaise haute puis s?accoude au bar.
Le vieux Jack prend un verre, et l?approche du robinet de bière pression, un liquide ambré se déverse dans le récipient d?une propreté douteuse quand il actionne le mitigeur d?un geste sûr.
Il pose la bière sur le bar devant Denis :
- Ça faisait un bail.
- Huit ans.
- Et alors ? Tu comptes faire quoi maintenant ?
- Me ranger.
- Toi ? Te ranger ? La prison était si dure que ça ?
- Non, c?était même un petit peu mieux que la ville. Mais j?ai plus envie d?obéir aux ordres d?un malade qui se remplit les poches sur le malheur des autres.
Denis regarde le tatouage sur son avant bras droit : un poing fermé, l?emblème des Balourds.
- Tu sais qu?on ne quitte pas un gang aussi facilement, tu ne peux pas lutter contre eux, et si tu essaies de t?enfuir, ils te poursuivront. Quand on s?engage chez les Balourds c?est pour la vie.
- Il faudrait déjà qu?ils sachent que je suis sorti.
- T?inquiètes pas ! S?ils ne sont pas déjà au courant, ils ne vont pas tarder à l?être. Tu crois qu?il venait d?où le mec auquel tu viens de démonter la gueule ?
Denis jette on coup d??il contre le mur où était allongé le videur, mais l?autre est parti sans demander son reste. Il s?est fait discret.
- m***e? C?est pas grave, je trouverai une solution.
Denis boit une grande gorgée dans son verre, et le repose sur le bar.
_ Au fait, quelles sont les nouvelles ? On est pas trop au courant de l?actualité en prison.
_ Il s?est passé pas mal de choses pendant ton absence. Mais si je te raconte vite fait, le sénateur et mort, assassiné, donc tous les accords tacites, les règles et les quotas imposés sur la drogue, les armes et autres produits illicites ont disparus. Kane et ses Balourds étendent leur empire à d?autres villes, dans la vieille ville, les putes commencent à importer des armes auparavant interdites, les lances roquettes par exemple. Le genre de truc auquel même toi t?aurais du mal à survivre, dit il en riant. Dans les quartier Sud, d?après les rumeurs, le gang du Carnage aurait monté deux trois prototypes de chars d?assauts : c?est une véritable guerre des gang qui se profile.
Denis a écouté sans dire un mot.
- Et ben ! On est pas dans la m***e.
- Je te le fais pas dire.
- En même temps ça arrange mes affaires. Si les Balourds sont occupé à préparer leur petite guerre, ils ne s?occuperont peut être pas de moi.
- Là, je pense que tu te trompes. Les solitaires et les indépendants, plus isolés, sont les premiers à faire les frais de cette bataille : les gangs éliminent tous ceux qui pourraient être un jour conte eux. Alors toi, un vieux de la vieille qui connaît tous leurs petits secrets, leurs planques et leurs façons de procéder : tu serais un atout considérable pour les adversaires des Balourds. Ils ne te laisseront pas partir.
- Ouais, t?as peut-être raison? On verra bien.
Jack s?éloigne pour aller servir un autre client. Denis reste au bar, il se retourne sur sa chaise, pour regarder les clients du bar. Il y a la toute la pire racaille des quartiers Est : des voleurs, des racketteurs, des tueurs, des dealers, et pleins d?autres crapules. Une serveuse au corps sublime passe entre les tables, il sait que sous son air fragile se cachent une véritable tigresse armée jusqu?aux dents.
Il passe un moment dans cette position à regarder ce monde qu?il ne connaît que trop bien défiler sous ses yeux.
Une voie féminine le sort de ses pensées :
- Salut.
La serveuse s?assied sur la chaise à côté de la sienne, elle pose un plateau sur le bar.
- Tu connais Jack ?
Elle a un corps superbe.
- C?est un vieil ami.
De longs cheveux blonds.
- C?est bizarre, je suis ici depuis un moment et je ne t?ai jamais vu.
Un visage d?ange.
- Ça fait un moment que je ne suis pas venu.
Des yeux bleus magnifiques.
La fille se tourne vers le vieux barman et lève la main pour attirer son attention :
- Jack tu peut me préparer six bières s?il te plait.
Elle revient à Denis :
- Et c?est comment ton nom ? Je discute souvent avec Jack, il m?a peut-être parlé de toi.
- Denis, Denis Hartman, le boxeur dont je t?ai parlé? Denis je te présente m?a nièce Samantha. Elle travaille avec moi depuis six ans. Elle vient d?un autre quartier
C?est Jack qui a prit la parole. Il est en train de remplir une bière.
Denis sourit à la jeune fille :
- Content de faire ta connaissance Samantha.
La jeune fille lui sourit à son tour et part, son plateau à la main en lui faisant un clin d??il.
- Content de faire ta connaissance ? boxeur.
Denis se retourne vers le bar et sirote sa bière tranquillement. Dehors, on entend la pluie qui commence à tomber de plus en plus fort.
Quelques heures plus tard, le dernier client quitte le bar. La pluie tombe toujours, Samantha et en train de nettoyer les dernières tables. Jack et Denis discutent encore.
- Bon je vais y aller, il se fait tard. T?as pas une idée de l?endroit où je pourrait loger ?
- Wendy habite toujours dans le même appartement. Tu devrais aller la voir.
Wendy. Une fille parfaite : jolie, gentille, pas compliquée, elle n?aimait pas trop la vie qu?il menait, mais la tolérait. Lui il n?était pas sur de l?aimé mais ils passaient de bon moment ensembles et il lui faisait confiance.
Mais elle n?était jamais venu le voir en prison, pas une lettre, rien. Elle aussi elle avait cru ce qu?avait dis les flics et les juges qui l?avaient condamné.
- Ok ! Merci, bonne soirée.
Denis cherche sa veste des yeux puis se rappelle qu?il n?en a plus. Les vieilles habitudes qui remontent.
- Bonne nuit Denis.
En sortant, il voit Samantha qui le regarde, un petit sourire aux lèvres.
Dehors, il pleut des cordes. À peine arrivé au premier croisement qu?il est déjà trempé jusqu?aux os. Il marche sans hésitation, en regardant devant lui, il se rappelle parfaitement de la route.
Soudain une voiture noire sort de l?ombre, une longue limousine aux vitres teintées. Etrange, dans cette partit des quartiers Est. Denis sent ses muscles se raidir, il jette un coup d??il autour de lui près a faire face à toute éventualité.
La voiture ralentit à mesure qu?elle s?approche de lui, puis s?arrête à sa hauteur. La porte s?ouvre, et une voie mystérieuse traverse le rideau de pluie :
- Monte.
Denis hésite un instant avant d?entrer. Il referme la porte et regarde son interlocuteur dont le visage est caché dans l?ombre.
L?homme prend la parole :
- Bonjour Denis, ça faisait longtemps.
- Ça faisait longtemps en effet, mais tu ne m?as pas manqué Kane.
Un rire sinistre s?échappe de l?ombre.
- Tu me feras toujours rire. Mais je ne suis pas la pour ça. J?ai du travail pour toi.
- Du travail ?
- Oui, comme au bon vieux temps, rien de bien méchant, le genre de travail dont tu as l?habitude et auquel du excelles.
- Je t?écoute.
Denis croit voir un sourire sur le visage de son interlocuteur.
- Il y a un homme, qui s?appelle John Groger, un agent des STUP. Ce gars me pose problème Denis, il est incorruptible, il n?accepte aucun de mes pots de vins. Et il continue à faire la loi avec beaucoup trop de zèle. Il fou son nez partout et il m?emmerde.
- Tu veux que je lui casses la gueule, c?est ça.
- Non, c?est un flic, on ne touche pas aux flics, tu devrais le savoir maintenant. Par contre ce cher John à une jolie petite famille. Mercredi, madame Groger réunit tout le monde pour une petite réunion de famille. Tout le monde sera là vers midi une heure. Mais John lui, n?arrivera que vers quatre heure : travail oblige.
J?aimerais beaucoup que monsieur Groger ne trouve personne de vivant quand il rentrera chez lui à quatre heure. Ça me ferait très plaisir.
- Non.
- Comment ?
- Tu as très bien compris. C?est non.
- Tu sais ce que tu est en train de faire Denis.
- Je sais très bien ce que je fais.
- Tu sais que j?obtiens toujours ce que je désire Denis.
- On verra ça.
- Bien. Au revoir Denis. À très bientôt.
- Adieu.
L?ombre lève la main et la voiture s?arrête. Denis n?attend aucune invitation pour sortir. Il retrouve la pluie glacée avec soulagement. Ce gars lui file la chair de poule.
Denis sait parfaitement que dans quelques heures, tous les membres des Balourds connaîtront Denis Hartman et auront ordre de l?abattre à vue.
Personne ne tient tête à Kane, même pas lui, « the Fighting Machine ». Il voulait quitter le gang, c?est fait, mais comme l?a dit Jack, on ne quitte les Balourds que les pieds devant. Sa vie ne vaut plus très chère à Sin City.
Après quelques centaines de mètres sous la pluie battante, Denis arrive devant l?immeuble délabré où il venait voir Wendy sept ans plus tôt.
Il pousse la porte et entre dans le hall obscur. Les murs sont criblés de balles qui témoignent des nombreuses fusillades qui ont eut lieues à cet endroit. La porte de l?ascenseur est barrée par l?inscription « Hors service », un escalier en bois menant aux étages supérieurs monte contre le mur de droite.
Les santiags de Denis claquent sur les marches en bois, il monte au troisième, le 36. Il s?arrête devant la porte, lève le poing et frappe un coup, la porte n?est pas fermée, elle s?ouvre toute seule, en silence.
La cuisine qui fait office de salle à manger et de salon est vide. La lumière est allumée, mais aucun bruit ne trouble le silence, à par le son de la pluie qui tombe sur l?escalier de secours en fer au dehors. Un courant d?air froid passe alors.
Un objet est posé sur le sol. Denis se baisse et reconnaît un Hardballer Long Slide, charger d?énormes balles de 45ACP creusant des trous de la taille d?une balle de base ball. Il ramasse l?arme et retrouve avec soulagement le contact de la crosse en acier. Puis soudain il est pris d?un doute affreux, il fonce vers la porte de la chambre à droite. La fenêtre est grande ouverte, le l?eau coule sur la moquette et se mélange avec le sang rouge et encore chaud de Wendy. Celle-ci est étendue de à coté du lit, nue, les bras en croix, son jolie corps affreusement mutilé. De nombreuses plaies ouvertes parcours son corps, une plus large ouvre sa gorge. Son visage est déformé par la douleur.
Celui qui a fait ça semble s?être acharné pendant des heures, mais Denis sait que l?homme n?a commencé sa besogne il n?y a que quelques minutes, au même moment où il a quitter la voiture de Kane.
Denis baisse la tête et sert son arme un peu plus fort. Tout ça s?est de sa faute, encore une fois.
Le téléphone sonne.
Il relève la tête.
Une deuxième sonnerie.
Denis marche jusqu?à la cuisine et décroche mais ne parle pas.
Il reconnaît tout de suite la voix à l?autre bout du fil.
- Bonjour Denis. C?est encore moi. Je t?appelais pour voir si tu avais changé d?avis concernant notre petite discussion de tout à l?heure.
Silence.
- Tu ne veut pas répondre? ouvres un peu le tiroir devant toi. Il y a une enveloppe pour toi.
Denis ouvre le tiroir du placard sur lequel est posé le téléphone. L?enveloppe est là. Une grosse enveloppe marron sur laquelle on peut lire, écrit au feutre noir dans une écriture élégante : Denis Hartman.
Il y a un petit objet dedans. Il déchire l?enveloppe, une oreille tombe sur le sol.
- Tu sais à qui appartient cette oreille Denis ? Demande la voie dans le téléphone. C?est celle d?un gamin. Un gamin que tu as sauvé il y a neuf ans de ça. Pour lequel tu es allé en prison. Et devines quoi ? Je tiens son autre oreille dans ma main. Elle est encore accroché au reste de son corps. Mais il va falloir que tu fasses ce que je t?ai dis si tu veux qu?elle le reste.
Un silence encore.
- Je ne t?ai jamais dis que j?ai toujours ce que je désire ?
L?homme raccroche.
Denis garde un moment le téléphone sur l?oreille. Il l?entend craquer sous ses doigts mais le repose avant de le casser.
Il pose son arme sur la table.
Le gamin. Il n?y pensais plus. Ce gosse devait à peine avoir quinze ans à l?époque.
Denis regarde l?oreille posée sur le carrelage de la cuisine.
Tu me payeras ça, Kane.
Il retourne dans la chambre, ferme la fenêtre lentement. Il regarde le corps de Wendy.
Tu ne peux pas rester là Wendy, je suis désolé.
Il prend le drap du lit maculé de sang, et enroule le corps dedans. Il ramasse la clé de la voiture de Wendy, posée sur la tale de nuit et prend le linceul dans ses bras. Il descend les escaliers jusqu?à la voiture sur le parking de l?immeuble. Il pose le cadavre dans le coffre et s?assied au volant. La voiture est une vraie poubelle : des trous de balles perce la carrosserie rongée par la rouille, de l?eau fuie par des interstices dans le toit.
Denis arrive à faire démarrer l?engin après trois essais, et prend la route de la montagne sous la pluie.
Il rentre dans un petit chemin de terre et avance pendant une bonne centaine de mètre. Il s?arrête alors et prend la pelle à neige dans le coffre.
Il s?éloigne un peut du chemin et entreprend de creuser un trou. La terre est meuble est humide. Le travail avance rapidement. Au bout d?une heure, la fosse à moitié remplie d?eau est assez grande pour accueillir le corps de Wendy. Denis retourne à la voiture et prend le corps enveloppé dans le linceul humide. Il dépose le cadavre de Wendy dans le trou et entreprend de le combler avec de la terre.
Il reste un moment devant la tombe improvisée. Il baisse la tête et écoute l?eau claquer sur sa tête et ses épaules. Il sert ses poings pleines de terre.
Celui qui t?a fais ça va le payer Wendy. Je te le promet.
Il regagne à la voiture et retourne à l?appartement. Il se couche sur le lit et s?endort.
Voila à ce moment là, j'ai vu l'horloge de mon portable afficher 6h00, j'ai pris mes affaires et je suis parti.

Je continuerai surement demain si j'en ai le temps.

Posté : jeu. 07 juil. 2005 23:30:14
par Haldir de Lorien
Bien sympathique, continue :)

Posté : ven. 08 juil. 2005 15:50:15
par Lex
Ce genre de truc, ca ne serrais pas mieux dans "au coin du feu" ???

Posté : ven. 08 juil. 2005 15:59:07
par MysTiC
non non un topic : quand je glande au boulot c'est pas mal je vais me faire un plaisir de raconter les aventures de Sasori accompagné peut etre de denis je vais voir !

nice Denis ^^

Posté : ven. 08 juil. 2005 18:17:52
par Bunker
Voila encore une matinée a rien foutre, deviner qu'est ce que j'ai bien pus faire pour faire passer le temps. :ange:

Finalement je vais peut être écrire un roman. 8)

Posté : ven. 08 juil. 2005 18:50:14
par Zorgman
Celui de Thomas HAWK :)
"Né dans le sang, il vivra dans le sang et y mourra aussi" dit le père de Thomas en tuant sa femme qui venait d'accoucher...
Le chien de son 357 magnum vient s?abattre au ralenti contre le culot de la balle."

Au moment de la détonation tout se fige : Thomas ouvre les yeux.
Toujours ce cauchemar récurrent qui vient gâcher ses nuits.
Il se redresse et s?assoit au bord du Lit.

Il est 6h du matin, les ténèbres de la ville se dissipent. De sa fenêtre il voit passer quelques matinaux dans la sombre ruelle de ce quartier à la limite des territoires des LAMES et BALOURDS.

Thomas croise son propre regard dans le miroir de sa grande armoire? Il a encore pris du poids, il doit désormais frôler les cent cinquante kilos du haut de son mètre soixante.
Il se change, déjeune de deux bons énormes steaks qu?il engloutit en quelques minutes.
Il se redresse et part pour sa boucherie.
Il traverse le quartier et ne croise personne comme si la ville s?était magiquement désertée? C?est comme ça depuis déjà bien longtemps? Les gens sentent la mort passer et préfèrent s?en éloigner.
Thomas avance la tête baissée, les yeux vitreux, embrumés comme si les habitants de son cerveau étaient parti un beau matin en vacances et n'étaient jamais revenus. Un regard lourd de regrets caresse les vieux pavés sales de la ruelle pour terminer sur la grille d'une lugubre boucherie où l'on peut lire "Boucherie - Charcuterie Hawk: Dans le cochon, tout est bon!"

La journée se passe comme d?habitude : quelques clients et un étalage à fournir en viande le tout accompagné d?une musique de tenor italien qui passe sur son vieux 33 tours. L'intérieur est toujours absoluement propre, comme les méthodes du boucher.

19h, Thomas baisse le rideau. Il porte toujours ses vêtements de bouchers tachés de sang aux manches et aux chevilles.
Il décide d?aller boire un coup à l?Estaminé, un petit bar tranquil. Il s?y rend, le portier le laisse rentrer comme à son habitude et va s?asseoir au comptoir.


- Dure journée, le boucher ? Lui demande le barman en souriant.
- Pas plus que d?habitude, non, soupire Hawk, sers moi 2 bières comme d?habitude,s'il te plait Jack.

La soirée se passe bien, après s?être langui devant la streap teaseuse et bu un dizaine de bière. Il sort par la porte de derrière pour prendre son petit raccourci comme toujours afin de rentrer chez lui quand tout d?un coup un bruit résonne derrière lui.

Un bouteille ou quelque chose dans le genre venait d?être lancé vers lui.
Sans attendre, Thomas se retourne et sors ses 2 couteaux de bouchers. Face à lui, une bande de 6 jeunes avancent la tête baissée, surs d?eux même.
En quelques secondes, il entourent Thomas et lui demande de vider se poches s?il veut moins souffrir?
Ils sont tous armés de Cran d?arrêt sauf leur chef, le plus petit qui brandit un vieux glock et le pointe vers la tête du Boucher?
Thomas a peur mais son mépris pour ce genre d?individus prend le dessus.

Sans une hésitation, il se sort de la trajectoire du pistolet et lance adroitement son couteau gauche de toute sa force qui tranche la main du pistolero dans sa longueur. L?homme gémit de toutes ses tripes et tombe à genoux. Aussitôt tous les assaillant se jette sur Thomas pour le planter. Mais le boucher est trop lourd, sa surcharge pondérale l?empêche d?esquiver et les 5 lames se plantent dans son corps.

Pris de douleur, il trouve la force de trancher les 3 sales jeunes qui étaient face à lui. Au moment où les 3 corps percutent le sol, le boucher remarque qu?il ne sent plus les mains des 2 derniers agresseurs sur son dos. Il se retourne en titubant et voit leur 2 corps sans tête. Ses dernières forces s?amenuisent et il ne peut bientôt plus tenir debout.


« Mourir ici? Pourquoi ? Un mort minable pour une vie minable, c?est ce qui m?arrive on dirait? »
pense-t il en bougeant ses lèvres.

Ses yeux tournent au blanc et la masse s?effondre alors sur le bitume.


« Je ne veux pas mourir? Je n?ai réalisé aucun rêve dans ma vie? Jamais rien fai?? »

"Né dans le sang, il vivra dans le sang et y mourra aussi" dit le père de Thomas en tuant sa femme qui venait d'accoucher...
Le chien de son 357 magnum vient s?abattre au ralenti contre le culot de la balle.

Au moment de la détonation tout se fige : Thomas ouvre les yeux.
Toujours ce cauchemar récurrent qui vient gâcher ses nuits.
Il se redresse et s?assoit au bord du Lit.

Il est 6h du matin, les ténèbres de la ville se dissipent. De sa fenêtre il voit passer quelques matinaux dans la sombre ruelle de ce quartier à la limite des territoires des LAMES et BALOURDS.

Une chose a changé, le corps de Thomas est recouvert de bandages. Un homme se tient debout au milieu de sa chambre. Il se présente.
Il se surnomme l?Exécuteur. Il passait par là quand il a vu le boucher se débattant dans un combat perdu d?avance.

Le boucher se lève difficilement et au moment où il regarde à nouveau son sauveur, il ne voit plus personne?


Pourquoi m'avoir sauvé? Et gratuitement en plus... Je n'ai jamais compté pour personne... Alors pourquoi...

Sur ces pensées, le boucher s'habille et part travailler, comme d'habitude.

Posté : ven. 08 juil. 2005 22:25:34
par Haldir de Lorien
Une table. Une table couverte de sacs. Une partie vomit des billets de banque, les autres une poudre blanche. Cinq hommes bien habillés sont assis autour de la table. Quelques gardes servent à cacher les murs de tole couverts de rouille.
Le vent fait trembler l'entrepot en forme de demi cylindre. Autour du batiment se trouvent cinq voitures, gardées par une douzaine de gardes du corps. Le sang qui s'échappe de leurs gorges tache de large auréoles la neige qui recouvre le sol.

Dans le batiment, les trafiquants discutent. Ils discutent, mais l'homme sur le toit ne les entend pas, séparé d'eux par une vitre à peine assez transparente pour qu'on voie à travers.
Agenouillé près de la fenètre, il observe au travers de ses yeux brulants les hommes qu'il va tuer. Il y a six heures, ils ont fait passer en force leur camion de drogue dans une zone noire de monde. Vingt personnes ne s'en releveront jamais. Et l'une d'elle a condamné ces hommes.
Ce soir, en son nom, l'étranger aux longs cheveux blancs va tuer, pour la venger, pour venger celle qu'il a aimé.

Il se relève et marche sur le toit vers la porte d'entrée. Les deux hommes de garde discutent. Ni l'un ni l'autre ne voient une ombre leur tomber dessus. Deux lames noires tournoient et deux têtes tombent avant que l'homme ne pose un pied à terre.
Il se retourne en enfoncant la porte du pied. Les gonds rouillés cèdent et l'écho de la porte résonne dans le silence revenu. L'homme entre, ses sabres dégoulinants de sang dans les mains.


Vous allez tous mourir ce soir. Affrontez dignement votre destin, sans quoi vous aurez le sort que vous méritez, et vous mourrez pendant des heures.

Le garde le plus proche sort un pistolet de sa poche et meurt avant d'avoir achevé son geste. Les deux sabres volent en travers de la pièce, décapitant trois gardes. Les têtes des deux derniers explosent dans un rugissement, l'homme a sorti un pistolet. D'un bond, il saute sur la table et assomme d'un coup de pied les deux seuls à avoir sorti une arme.
Rengainant la sienne, l'étranger plonge la main dans le veston d'un des trafiquants et en sort un pistolet qu'il lance au travers de la pièce.
L'homme panique et se met à supplier, persuadé d'être exécuté sur place. Il arrète sa plaidoierie en voyant les yeux verts de l'homme se tourner vers lui.

Le lendemain matin, la police arrive sur les lieux. On comptera 25 morts, tous décapités. Tous sauf un, écorché et brulé vif.

Posté : dim. 10 juil. 2005 19:47:10
par Zorgman
Wahaaaaa, Haldir le tueur en masse!

Après le sérial Killer : La Massik Killer !!!

C'est bien !!! Mais pendant le scénar, ce genre d'action sera difficile et délicate ! Alors équipe toi d'une trousse à pharmacie et d'un nécessaire de "déplombage" :)

Posté : jeu. 21 juil. 2005 21:27:43
par Bunker
Et voila encore une journée à rien foutre mon patron s'est cassé à Paris : Quand le chat dort les souris dansent.

Posté : jeu. 21 juil. 2005 22:20:29
par MysTiC
tu ferais mieu de repondre au devinette au incollabe tu te coucherais moin con ^^ aller a demain Denis :D

Posté : jeu. 21 juil. 2005 22:44:21
par Vlad Tepesch
Zorgman, quand tu parle de l'Exécuteur, tu parle de mon perso non? De Sosuke? :D

Posté : ven. 22 juil. 2005 01:25:06
par Zorgman
Du tien Vlad !

Posté : ven. 22 juil. 2005 10:07:09
par Vlad Tepesch
Y a un truc qui colle pas : comment j'ai eu son adresse :D

Bon, je ferais une petite histoire pour détailler ce passage de ma vie :D

Posté : ven. 22 juil. 2005 11:48:00
par Vlad Tepesch
L'homme court sur le toit. C'était le seul moyen qu'il a trouvé pour échapper à l'ombre. Se jeter par la fenêtre. Il était retomber sur un toit. Et maintenant, il court de toit en toit poursuivi par la mort.

Il est amer maintenant. Il a des regrets. Il n'aurait jamais du accepté ces pots de vins. Il aurait du vivre de façon plus honorable, plus juste. Il aurait du vivre sa vie sans pêché, parce que maintenant, à l'heure de la mort, il sait que la porte de Dieu lui restera close.

Policier de profession, il avait pourtant installer quelques pièges chez lui pour le prévenir des intrusions, il n'aurait jamais du être pris par surprise. Mais l'ombre qui le poursuit n'en avait déclenché aucun. Il ne devait ce moment de survit qu'à son chien qui avait grogné. Et lui, en voyant l'assassin, il n'avait trouvé aucune autre solution que de sauter par cette fenêtre. Et maintenant, il court de toit en toit en sachant très bien que tôt ou tard, il n'y aura plus de toit sur lequel sauté.

En bas, les rues sont pleines de monde, mais personne ne lèvera les yeux. Personne n'agira pour sauver un policier. Et derrière lui, l'ombre gagne du terrain. Elle semble beaucoup plus agile que lui dans cet environnement. Un sifflement dans l'air et une douleur aigu. Quelque chose vient de lui déchirer l'arrière du genou. Le policier s'effondre, et trouve malgré tout la force de se retourner. Il voit l'homme qui le poursuivait. Il le voit en train de le regarder, à plus de 20m de là. Et il regarde sa jambe et voit une sorte de couteau de lancer planté dedans.

Un couteau de lancer à 20m, il est précis l'animal !

L'ombre se rapproche en marchant doucement. Arrivé à 10m de sa proie, elle sort un katana noir qu'elle fait tournoyer. Le policier sent sa mort proche. Il sent le liquide chaud se répandre dans son pantalon. Il sait qu'il n'a plus rien à perdre, pas même son honneur alors :


-Je t'en supplie, ne me tue pas ! Je ne recommencerais plus, promis ! Laisse moi en vie !

L'assassin avance sans un mot puis arriver près du policier, il dit une phrase, une unique phrase :

-Vous venez de prononcer vos dernières paroles. Des paroles fort peu honorable. Vous auriez pu me faire face et mourir en brave, vous avez fuit et vous mourrez en lâche.

La lame s'enfonce rapidement dans le coeur du policier. La douleur est grande et la mort n'est pas tout à fait instantanée. Il a le temps d'entendre une nouvelle phrase de l'assassin.

-Et les lâches n'ont pas droit à une mort sans douleur.

Sosuke essuie le sang de sa lame sur les vêtements de l'homme et reprend son kunai. Puis il se retire, ne cherchant même pas à le fouiller. Qui aurait de l'argent dans son pyjama ?

Sosuke s'éloigne rapidement sur les toits lorsqu'il entend un son de bataille. D'après les toits autour de lui, il est proche du bar de Jack. D'après son instinct, les bruits, Sosuke dirait : 6 hommes. Combat à l'arme blanche. Sosuke se rapproche sans être vue.

Là, il voit une sorte de petit gros attaqué par des gens. Rectification : il est attaqué par derrière. N'y a-t-il que des lâches dans cette ville ? Encore les sens en ébullition par son dernier meurtre, Sosuke se décide à intervenir.

Sosuke lance son grappin, l'accroche au toit en face et se laisse tomber en sortant son sabre. Guidé par le fil du grappin, Sosuke parcourt la rue à grande vitesse et tranche la tête des deux agresseurs au passage. Il utilise la puissance de ses jambes pour amortir le choc contre le mur d'en face, prend appuie sur ce mur, décroche son grappin au passage et finit sa trajectoire en salto arrière tout en se retournant. Il retombe avec souplesse sur le sol, souriant sous son masque, plutôt content de son mouvement.

Hehe, il m'en a fallu du temps pour le maîtriser ce salto. Pas mal non?

Sosuke remarque avec déception que personne n'a vu son mouvement, tout le monde est mort ou trop amoché dans cette ruelle. Il se penche alors sur l'homme qui se faisait attaqué.


-Hey, ne meurt pas ! Je ne me suis pas fatigué à t'aider pour que tu crèves ici.

Sosuke saisit l'homme et vérifie son état de santé. L'homme est salement blessé. Sosuke lui enlève rapidement le haut de ses vêtements et se saisit de ses analgésiques et pommades cicatrisantes. Là, dans cette ruelle, il soigne, désinfecte et panse les blessures de l'homme.

Je peux pas le laisser là, faut le mettre quelque part.

Sosuke fouille rapidement l'homme et trouve ses papiers. Thomas Hawk, boucher dans le coin. Sosuke trouve son adresse aussi.

Bon, pas le choix, je l'amène chez lui. De toute façon, entre les blessures et les anesthésiants, il aura pas le temps de se réveiller.

Sosuke se hisse sur les toits avec Thomas. Puis il fonce aussi vite qu'il le peut en direction de l'appartement de l'homme qu'il a soigné.

Arrivé là bas, il le met sur le lit et se prépare à partir. Il est 6h. Thomas se réveille en sursaut.

Quoi, déjà réveillé ! Mais c'est pas possible ça ! Il métabolise l'anesthésiant super vite ce mec !

Sosuke se met dans l'ombre pour ne pas que Thomas puisse voir son visage. Thomas le voit et demande d'une voix pâteuse.


-Qui êtes vous ? Pourquoi je suis chez moi ?

Oh les bons yeux. Il y a pas assez d'ombre ici pour disparaître !

-Je suis l'Exécuteur. Vous avez été attaqué par des lâches et je vous ai soigné.

Thomas se lève et quitte Sosuke des yeux.

C'est le moment !

Sosuke passe rapidement par la fenêtre par laquelle il était entré. Tel un ange noir, il se laisse tomber dans le vide en lançant son grappin. Celui ci s'accroche au toit du bâtiment le plus proche et Sosuke est bientôt debout sur ce bâtiment.

Bon, j'irai bien dormir moi.

Et Sosuke disparaît en traçant sa route à travers les toits.

Posté : ven. 22 juil. 2005 13:53:38
par MysTiC
Ooh Ooh sa promet !! Attention Sin City prépare ton bouclier ANTI GROSBILL :kaoups:

on peut se faire plaisir a faire des BG de dingue mais j'espere que dans le scénar sa sera un pei different de ce role play (on a plus 13 ans)

Posté : ven. 22 juil. 2005 13:59:29
par Vlad Tepesch
Ben quoi, mon mec fait rien de particulier.

De l'équipement adéquat et un bon entrainement aux acrobaties.

Faut bien ça pour faire le ninja :D

Posté : ven. 22 juil. 2005 21:07:55
par Zorgman
Le gros bill c'est pour le caractere du perso !
Mais les pires crapules ont pas besoins d'être physiquement forte !
Un peu de fric et d'imagination ça vaut tous les saltos !
:D

Posté : sam. 23 juil. 2005 11:07:35
par Vlad Tepesch
Ouais, mais ce genre de salto, c'est la classe :D

Posté : sam. 23 juil. 2005 17:35:06
par Zorgman
Bunker est déchainé !!! :shock:
Mister BG de OUF !

Chapeau :D

Posté : lun. 25 juil. 2005 14:54:06
par MysTiC
Mouuuais
:doute:
apres avoir maté Sin City chez toi (DEnis) je remarque un certain lien entre Marv & Goldy / Denis & Wendy NOn ? je me trompe ;) ;) ;) mais bon c'est super quand meme je fais pas mon blondinet rassure toi ; j'espere juste pouvoir poster bientot un BG digne de moi ^^ apres tout on vient de la meme ecole hhhihihhii :kaofete:

Posté : lun. 25 juil. 2005 22:48:58
par Bunker
A savoir que mon Back ground je l'ai pas inventé.
Tout ce que je raconte je l'ai joué.

Posté : mar. 26 juil. 2005 08:28:13
par MysTiC
joué et inspiré du film :lol: bref je l'aime bien Marv j'aimerais bien avoir un pote comme ça InGame mon pti Sasori je le vois bien en heros de la nuit style le mec qui aide les puttes : il est classe !!