[RP] - Inquisiteur

[Vlad Tepesch]

Vlad se pose dans le bateau. Il ne compte clairement pas aider à la manoeuvre.

[Bunker]

Jean jette un coup d'oeil à Vlad sans s'arrêter de travailler.
Et ben ça va être joyeux.
J'espère qu'il y en aura qu'auront le mal de mer histoire de rigoler un peu.

[Hinata]

Mélinda monte à bord

[Haldir de Lorien]

Marbourg se place sur l'arrière du bateau. Il semble fermé et songeur.

[Lex]

L'Arrogant quitte peu à peu le port de Marseille.

Le voyage se passe tout à fait bien les deux premiers jours, sauf quelques uns qui ont quelques nausées.

Au crépuscule du second jour, une voile inquiétante apparait à l'horizon.

[Bunker]

Jean s'appuie au bastingage et observe avec attention le bateau qui vient de faire son apparition.
Mouais. On va continuer notre route comme si de rien n'était. De toute façon on serra vite fixé.
Si ce bateau s'approche trop de nous faudra faire cracher à cette coquille de noix tout ce qu'elle a dans le ventre. Les rencontres en Mer sont rarement amicales.
Encore jamais vu quelqu'un faire un détour pour venir me serrer la main dans la flotte moi.
Jean prend la barre et modifie le cape afin que l'autre bateau soit lui aussi obliger de modifier sa route s'il veut l'attraper.

[Haldir de Lorien]

Marbourg observe le navire en question, lui aussi. Finalement, il se tourne vers Jean. Combien d'hommes sont nécessaires pour manoeuvrer ce bateau, au minimum ?

[Bunker]

Je ne sais pas, il est encore trop loin.
Mais c'est dur de faire moins que nous. Dit-il en riant.

Il n'est pas encore nécessaire de s'inquièter. Croiser d'autres navire est courant dans la Méditerrannée, c'est une voie commerciale trés utilisée.
Et j'en sais quelque-chose.

[Haldir de Lorien]

Je parle de notre navire.

[Bunker]

Ah désolé !
Ben un seul, tu vois bien. Dit Jean en se désignant.

Humm petit malin je voix où tu veux en venir.
Tu te dis qu'en cas de baston il serait utile de pouvoir profiter de l'effet de surprise.
Du genre on cache tout le monde dans la cale pour faire croire qu'il y a juste un seul gars à bord comme ça les pirates y vont le coeur confiant et au dernier moment tout le monde sort et on leur fou leur branlée.
C'est ça ?
Ajoute Jean en souriant.

[Haldir de Lorien]

Marbourg lance à Jean un regard indéfinissable.
Telle était en effet mon idée. Cependant, un homme seul ne me paraît pas la meilleure solution. Deux serait plus adapté.

[Bunker]

Ok...Mais essayons d'abord de connaître les forces en présence et les intentions de nos "opposants" avant d'établir un plan de bataille.
S'ils sont cinquante là bas dedans à vouloir nous aborder, ça reviendra du pareil au même qu'on ait l'avantage de la surprise ou pas.
Répond Jean.

[Haldir de Lorien]

C'est certain. Mais lorsque nous seront suffisement près pour savoir combien ils sont à bord, ils le seront aussi. Et il sera alors de toute façon trop tard.

[Lex]

La voile à l'horizon change elle aussi de cap... Et elle se raproche assez vite. Cela parrait assez étrange à Jean, il n'y a pas beaucoup de vent et il ne semble pas y avoir de rameur à bord.

[Bunker]

C'est quoi se bordel ?!
Enfin au moins on est fixé.
Messieurs, nous sommes dans la m***e.

[Bunker]

Jean réfléchit un instant.
Bon tu proposes quoi finalement ?
Demande-t-il à Marbourg.

Puis il jette un regard en direction de la côte et du bateau pour évaluer la distance qui les sépare de l'une et de l'autre.

[Haldir de Lorien]

On va commencer par se cacher, ça ne coute rien.
Toi et Aleck, vous allez manoeuvrer le navire et nous tenir au courant.

Avec le peu que je sais de nos adversaires, je ne peux pas développer plus.

[Bunker]

Ok.
Jean se tourne vers le reste du groupe.
Bon on maintenant qu'on sait que ces gars là veulent pas nous dire juste un petit coucou de loin, va falloir que je vous explique deux trois truc.
Tout d'abord si vous porter des armures vous pouvez les dégager. Dans un combat navale c'est vite fait de tomber à l'eau et avec cinq kilo de métal sur le dos on flotte beaucoup moins bien.
Après c'est juste un conseil. C'est à vous de voir.

Autre chose dans notre cas, essayer de tuer tout le monde n'est pas la manière la plus sûre de nous en sortir vivant. Je pense qu'il serait plus aisé d'empêcher le navire de nous suivre. Je n'ai pas encore de plan précis mais j'y travail.

Après si je voix qu'on a vraiment aucune chance je tenterais quelque chose de désespéré alors ne désepérez pas. Je déteste me rendre.

Aleck prend la barre s'il te plait et maintient le cap, de toute façon ils vont plus vite que nous alors autant les affronter dignement et ne pas fuir.

Après un instant, il ajoute.
J'ai peut être mon idée désespérée.

Il cherche une hachette.

[Haldir de Lorien]

Marbourg observe Jean brièvement. Si ton idée désespérée est de couler le navire avant qu'ils n'arrivent, je n'en suis pas partisan.

Marbourg se met quelque part d'où on ne peut pas le voir de l'extérieur du navire, mais dont il puisse sorti rapidement.

[Bunker]

Moi non plus, mais on peut empêcher ce bateau de nous suivre autrement qu'en le coulant. On peut s'attaquer à son mât, ses voiles, son gouvernail... C'est quand même beaucoup moins solide que la coque.

Là je suis bien tenté par une petite attaque sous-marine.
Dit Jean en riant.

[Lex]

Le navire s'approche encore...
Jean pourrai voir les personnes sur l'autre pont, mais ce qui le surprend, c'est qu'il n'y a personne de visible.
Un vent glacial, qui n'est pas digne d'être en Méditérranée, souffle autour de ce navire.

[Vlad Tepesch]

Vlad se place à sa position et sort son épée.

Nous avons l'avantage Alban. Même s'ils sont 50 ou plus, ils ne peuvent pas attaquer tous en même temps. Je suis une vraie furie au combat.

Mais pourquoi ne pas profiter de l'arc de Merlin pour les tuer à distance, ou enflammer leur voile et leur bateau avec une belle flêche ?

[Hinata]

Mélinda enlève son armure légère et sa cote de mail. Et se cache elle aussi.

L'idée de Vlad n'est pas mal. Brulé quelques chose qui est en bois est très facile.

[Duvodas]

Aleck ne dis rien pour le moment et va prendre le controle du gouvernail pour tenir le cap, il scrute également le navire qui se rapproche :

Vlad a raison, si nous ne parvenons pas a les arreter ils ne peuvent pas monter tous a bord de se bateau, il faudra réagir vite pour bloquer leur abordage...

Puis Aleck réajuste ces vètements fait coulisser son épée dans son foureau et vérifie que sa dague est bien en placée au dos de sa ceinture.

[Bunker]

p****n c'est pas normal. Il y aquelque chose qui cloche.

Moi je veux bien que tu brules ce satané navire, mais je te préviens t'allumes pas un feu la au milieu ou je te fou à la Mer.
Dit Jean en feignant la colère.
T'as envie qu'on brule tous ? Dit-il alors dans un éclat de rire.

Puis il devient sérieux.
J'ai quelque chose de sérieux à vous dire.
Ce bateau il est bizar. J'ai jamais rien vu de tel. Il avance beaucoup trop vite pour le vent qu'il y a. Et on dirait qu'il y a personne à bord.
Et pis le vent froid qui souffle depuis un moment, il est pas normal non plus.

C'est plus qu'étrange. J'ai entendu une légende, il a longtemps, sur un vaisseau fantome parcourant les Mer et don les marins damnés tuent sans distinction pour assouvir leus insatiable appétit. J'ai jamais vraiment cru à ce genre d'histoires à dormir debout, mais bon là...

Je préfèrerais qu'il n'y ai pas d'abordage.
Je vais tenter le truc désespéré.

Une corde, un grappin et une hachette. On y va !Dit-il pour se motiver.Doit bien y avoir ça sur un bateau quand même.

Jean continue à chercher sa corde, son grappin et sa hachette.