[RP][Campagne RO Majuscule du Chaos] Aux marches du monde.

[Vlad Tepesch]

Mushrum regarde Ture bizarrement :

Froid à la crème?

[lubaq]

Bah oui Mushrum, tu fais le lien ?

[Vlad Tepesch]

Tu vois où? Où ça des champignons ?

[lubaq]

Ture attend un instant tout sourire.

[Vlad Tepesch]

Le lien? Champignon, crême ? On va manger !!

Mushrum renifle et se laisse guider vers la nourriture par l'odeur. S'il sent l'écurie, y a de la viande de cheval au menu donc.

[lubaq]

Ture est dépité, son frère n'a même pas pris le temps de faire cette blague.
Je parlais pas de ça ! Dans une autre langue ton nom veux dire champignon.
Maintenant va à la grille.

[Haldir de Lorien]

Mush inspire à plein poumons.

Et ne sens rien à cause de l'énorme boule neige poudreuse qui vient de se plaquer sur sa truffe, envahissant son nez.

[Vlad Tepesch]

Mushrum se débarasse de la neige, puis va là où on lui dit. Il a faim !!

[lubaq]

Le rire de Ture se calme et en reste en joie.
Quel coup de pot ! J'ai bien fait de choisir un froid en accord avec la bouffe, il m'a permis d'insinuer que je connaissais son nom depuis le début.

[Earnor]

Dayomë laisse sa vue s'adapter à l'étrange luminescence de l'endroit.

Quel endroit étrange, j'aimerais beaucoup savoir ce que protège ces murs... Et ce cristal d'ou vient-il?....
Bah de toute façon ca ne m'empèchera pas de dormir, vivement demain que je puisse me dégourdir un peu, si il y a autant de monde qu'annoncé ca pourrait etre intéressant.

Dayomë jette un oeil aux petits groupes de mercenaires éparpillés.

Beaucoup de gens ici semblent plus qu'exceptionnels... Ca s'annonce vraiment intéressant...

Puis il se retourne vers le prêtre

Tout ceci ne manque pas d'intérêt, vraiment. Cependant je suis vraiment las, j'aimerais que tu me dise rapidement quel rôle je suis sensé jouer demain.

[Kneda]

Gylor suit le prètre et se couche directement sans toutefois réussir à ou vouloir s'endormir, par manque de confiance.

[Haldir de Lorien]

Mushrum finit par s'éloigner du mur en tombant sur une sorte de "maison" attachée au dit mur, qu'il contourne jusqu'à arriver devant une grille, devant laquelle il patiente quelques minutes.

De leur coté, Ture et Jakesh descendent avec quelques difficultés un large escalier envahi par la neige, puis se dirigent vers le coté intérieur de la barbacane la plus à l'est du Quadrant Nord. Une fois à destination, l'énorme prêtre devise tranquillement avec un sien collègue, qui finit par hocher la tête et ouvre la grille en disant quelque chose que Ture ne parvient pas à entendre à cause du vent. Que des assistants dissimulés l'aient entendu ou qu'il y ai magie sous roche, la grille impressionante qui barrait le passage se soulève silencieusement. Ture entre à la suite de son guide dans un tunnel vouté, haut d'environ cinq à six mètres, qui semble lui aussi prêt pour la bataille du lendemain, à en juger par les stocks d'armes et de munitions diverses, ainsi que par quelques construction de pierre semblant permettre d'élaborer facilement une défense. Ture constate aussi que le sol est dégagé sur trois larges zones d'un mur à l'autre, et le son que renvoie le sol lorsqu'il passent à cet endroit lui laisse à supposer qu'il s'agit de trappes. Ce que Jakesh cnfirme en indiquant : Ce sont des fosses pleines d'acide. Elles sont manoeuvrées par les leviers, là.
Les leviers en question, facilement visibles, semblent être d'un maniement plus complexe qu'on pourrait s'y attendre, en tout cas Ture ne parvient pas à comprendre réellement quelle partie de l'appareillage correspond au levier proprement dit.

Les deux comparses arrivent finalement à la seconde grille, encore plus large et solide que ne l'est la précedente, grille derrière laquelle les attend un demi-ogre gesticulant, qui a l'air fort content de revoir son "vieil ami". Jakesh dit encore quelque chose, et la grille, là encore, se soulève sans bruit notable. Les trois êtres retournent dans la cour après avoir refermé les deux herses, puis suivent Jakesh jusqu'aux cuisines. Là, mushrum voit arriver avec une joie fort peu contenue un quartier de boeuf, auquel il s'attaque avec appétit tandis que Ture et Jakesh dicutent autour d'une collation plus réduite (du moins pour Ture) et des gobelets de boisson. Son guide laisse entendre à ce dernier qu'"il ne sent pas le Mal dans cette créature", que "c'est un compagnon impressionant" et "qu'il sera fort utile" le lendemain. Une fois la faim que Mush calmée, celui-ci se rend compte que fuir trois jours durant devant une marée d'orques grouillants est une chose fatiguante, et qu'il voudrait aller se reposer. Ses deux nouveaux amis l'accompagnent dans une pièce contenant une grande paillasse, une sorte de petite source et une table en pierre. Musrum, après force manifestations de contentement, se couche, tandis que Ture va se chercher un endroit adapté à son repos. Jakesh lui trouve un lieu correspondant à ses espérances et va lui aussi se coucher.

Pendant tout ce temps, Alucard a suivi "son" moine dans les profondeurs du complexe, et arrive finalement dans de grandes caves voutées pleines de fournitures de tout type. Il estime que cette pièce mérite autant la qualification d'armurerie que celles de stocks d'intendance, et estime qu'il a du falloir des années aux moines pour amasser tout ce matériel.
Les deux hommes circulent dans les rayons avec une sorte de chariot flottant sur lequel sont entreposés les équipements qu'Alucard juge utile d'emporter.
La discussion qu'il mène avec le prêtre le convainc on ne sait trop comment qu'un "officier" doit en avoir l'allure, et qu'il ne pourra pas utiliser sa lourde épée tout au long de la bataille. Suite à ces nouveaux éléments de rélflexions, Alucard dédaigne de changer ses atours usées, mais accepte une armure d'écailles pour améliorer sa protection, ainsi qu'un casque et des gantelets de plaque noirs. Le moine ajoute des sortes d'épaulettes décorées d'un motif sombre, puis s'en va dans un coin de la halle en demandant à son client d'essayer ses nouveaux jouets.
Alucard parvient avec quelques difficultés à enfiler l'assemblage d'écailles, qu'il estime léger, mais protecteur, puis répartit ses charges sur lui. Le prêtre revient alors avec un écrin en bois dans les mains, ainsi qu'une sorte de besace bossue. Il les pose sur le plan de travail supportant déja l'ancien équipement d'Alucard et aide celui-ci à ajuster au mieux l'armure d'écailles, qui forme alors comme une secdonde peau sur son porteur.
L'intendant (car il s'est signalé sous ce titre), lui tend alors l'écrin, qui contient un petit cor d'argent qui trouve sa place à la ceinture d'Alucard. Celui-ci, informé que le cor servira pour regrouper ses gens lors de la bataille, teste immédiatement l'instrument sans soucis de l'heure tardive et perçoit un claironnement argenté très clair, quoique la réverbération de la pièce puisse changer le son perçu. Il considère immédiatement que ce cor pourra, maldré sa taille, couvrir sur une certaine distance le fracas des armes. Puis il ouvre sans façon la besace qui accompagnait le cor.
Celle-ci contient deux bourses de tailles inégales, ainsi qu'un objet étrange qui s'avère être une arbalète de poing repliée.
Le moine informe qu'il s'agit d'une sorte de cadeau fait aux officiers, que la petite bourse contient une vingtaine de carreaux enduits d'un soporiphique et la grande environ cent cinquante carreaux classiques. Une cible présente dans la pièce permet à Alucard de tester un peu sa nouvelle acquisition, avec un certain succès.
Il accepte également une corde et quelques vivres pour la suite de ses pérégrinations.
Les deux hommes défilent ensuite parmis des rateliers d'armes parmis lequels Alucard prélève une épée à deux mains de belle facture. Il apprend que diverses armes, ainsi que des stocks de javelots et de munitions, seront disposés dans la cour et sur les remparts le lendemain. Dans un élan d'altruisme, il se propose pour aider au transport de tout ceci jusqu'au lieu de leur utilisation. Le moine le remercie et l'accompagne jusqu'à un dortoir contenant quatre lits, pièce dans laquelle deux formes occupent déja chacune un lit, sous la surveillance d'un moine qui lit tranquillement un grimoire sous la faible lueur d'une chandelle. Alucard prend congé de son guide et s'effondre dans le premier lit vide.

Danyomë se voit de nouveau expliquer que la répartition des rôles sera faite le lendemain, puis se laisse convaincre qu'un peu de repos ne peut pas lui faire de mal. Il est conduit dans une pièce relativement chaude, comportant elle aussi une source, dans laquelle deux elfes sont déja en pleine méditation, tandis qu'un prêtre, là encore, lit dans un coin, mais sans source de lumière, ce qui ne semble pas le gêner. Danyomë trouve lui aussi très vite des conditions spirites propices à un repos profond.

Kesh, qui est descendu dans la cour et a fait le tour des remparts en posant question sur question (évitant ainsi de massacrer quelqu'un), finit par avoir la conviction qu'il a une vision claire du champ de bataille à venir et accepte, lui aussi, un peu de repos. Il est mené dans une vaste chambre dotée d'un seul lit, curieusement adapté à sa morphologie.

Jalan visite lui aussi les lieux, puis prend une frugale collation avant d'aller dormir, là encore dans une chambre particulière.

Kaëllys, quant à lui, rejoint son dortoir rapidement, ayant déja eu en bien des cas l'occasion de se faire une idée de la configuration des lieux.

De même Aëdhil, après avoir longuement discuté avec un archer elfe passioné de cordes d'arcs en boyaux d'orques, finit par aller dormir. Sa tentative de vision, aidée par ses herbes shamaniques, lui permet d'appercevoir une sorte de démon effrayant chevauchant un dragon d'un abord à peine plus agréable. Il achève son expérience sans avoir réussi à déterminer plus avant le sens de ce qu'il a vu et finit par se coucher également.

Akorad, bien qu'ayant fait le voyage à dos d'ours, tombe de sommeil, et se fait donc indiquer son dortoir, dans lequel il ôte son armure avant de s'allonger.

Tous ceux qui se sont couchés, même Gyllor et Kesh (mais ni Jalan, ni Ture, ni Danyomë, qui n'ont pas besoin de dormir), finissent par sombrer dans un sommeil profond et réparateur. La nuit passe avec sa lenteur habituelle, laissant à Mushrum le temps de se lever trois fois, la première pour manger, la seconde pour boire (le prêtre de l'autre coté de la porte le mène alors à la fontaine la plus proche, c'est à dire trois mètres derrière Mush, dans sa chambre), et la troisième pour manger. Ces détails mis à part, rien ne vient troubler le repos de la Citadelle.

Approximativement à l'heure où le soleil aurait du se lever, tout le monde est réveillé par un doux carrillonement et ouvre les yeux.

Kesh, qui se lève immédiatement, entend sa porte s'ouvrir discrètement et accueille arme au poing un prêtre au costume dégoulinant d'un liquide pourpre, duquel émane une puissance aura maléfique. Kesh se sent immédiatement dans son élément lorsque le prêtre lui demande s'il est prêt à s'ouvrir à la Paix du Sang.

Mushrum, quand à lui, n'entend pas le carrillonement, et est réveillé par Jakesh et Ture venus lui rendre visite, le premier portant dans ses mains un nouveau quartier de boeuf, ce qui incite le demi-ogre à le considérer comme le meilleur ami possible en ce bas-monde (mais Mush ignore qu'il y en a un autre). Ture, qui s'est levé un peu plus tôt et à déjeuné avec le gros prêtre, devise tranquillement avec Mushrum, entre les mastications de celui-ci.

Alucard ouvre les yeux et se lève, sa dague à la main, pour tomber sur un prêtre souriant et trois autres personnes qui ont elles-aussi sorti une arme avant même d'avoir ouvert leurs deux yeux. Personne ne semble toutefois avoir une attitude ouvertement agressive.

Danyomë est sorti de sa transe en même tempsque les autres elfes, et aprend rapidement qu'ils viennent d'un royaume elfique proche de la forêt de son enfance, et les trois elfes déjeunent en discutant aimablement. Danyomë apprend qu'ils sont archers.

Akorad se réveille pour tomber nez à nez avec Aëdhil, avec lequel il a voyagé jusqu'ici. Les deux comparses discutent et vont déjeuner rapidement. Aëdhil reprend peu à peu conscience du résultat de l'usage des plantes shamaniques, la veille au soir.

Jalan, quant à lui, sort de sa torpeur frais et dispo, et sort immédiatement au grand air vérifier que ce damné soleil ne s'est pas levé aujourd'hui, ce qui est le cas. La neige s'est arretée et la vue des remparts est grandiose. Et inquiétante, puisqu'elle révèle l'absence de défenses extérieures à la Citadelle. Jalan doute suite à cette vision que le village puisse tenir plus de quelques dizaines de minutes face à une marée d'orques comme on les lui a décrites.

[Vlad Tepesch]

Mushrum est heureux, c'est une des premières villes où on ne l'attaque pas.

C'est bien ici, ça vous dérange si je reste quelques semaines?

[HILEdit : Italiques.]

[lubaq]

Ture est content d'apporter du réconfort à cet affamé, presque autant que de savoir qu'il n'est pas mauvais.
Aucune idée, je ne sais pas combien de temps je resterais. Un jours au moins normalement. Donc profites en bien.

[Drags]

Kesh, qui, la veille, avait récupéré le cor, les épaulettes, l'arbalète et les carreaux (puis avait passé un moment à enduire les carreaux normaux de ses puissants poisons), hoche la tête. Kss... sssalutations. Je suis prêt. Bien qu'appréciant grandement le rituel de la Paix du Sang, Kesh n'a pas l'air très sympathique, ni même content.

[Bunker]

Jalan ère un moment sur les remparts, profitant de ce moment de tranquilité et de la vue dégagée qu'il n'avait pas la veille.

[Nosferatu Alucard]

Alucard s'étire bruyament, faisant craquer la majeur partie des ses articulations, la dague toujours à la main. Il dévissage tous ses collocataires puis va se laver rapidement le torse et le visage au niveau de la source.

Il s'équipe ensuite, mettant son haubert puis le plastron d'écaille, adaptant au mieux les sangles de ses different étuis avec son nouvel équipement. Il fini par ses galon et son casque, l'arbalete de poing qu'il équipe avec un carreau normal, ses gants, et met la Faucheuse sur son dos. Il regarde ensuite sa nouvelle épée, puis la prend par la gaine et la fixe aussi à son dos, s'assurant que ses deux gaines dorsal était placé pour ne pas être gèné s'il devait dégainer une de ses épée dorsal.

Cela fait, il remet sa cape, laissant sortir les deux gardes par le trous prévu à cet effet et rabat la capuche.

Il regarde ensuite les autres occupant de la chambre.

Un p'tit entrainement au corps à corps aprés le p'tit dej, ca vous tente? J'ai envie de tester mon nouveau matos et être sur qu'il me gene pas.

[Zorgman]

Thurbo arrive et réclamme à manger.

Où est ce que je peux trouver un sanglier par ici?

[Kneda]

Gyllor se réveille et jette un rapide coup d'oeil à tout son equipement.
Le grimoire, mon baton, ma dague. Rien ne semble manquer te manquer.
Puis il revient à son lit et médite.

Une fois terminée sa méditation, il met sa bure de manière à ce que la capuche cache encore sa face et prend toutes ses affaires et sort dehors.
Il se met à la recherche d'un de ses compagnons de voyage de la veille ou une personne qu'il sent être un mage,mais profite de sa promenade et de la lumière du jour pour analyser plus en détails qu'hier l'ensemble qu'il aura à défendre.

[Haldir de Lorien]

Jakesh ne répond pas à Mushrum, qui d'ailleurs ne pense plus trop à sa question, occupé par sa pièce de viande.

Ture, de son coté, s'entend donner quelques explications sur la préparation qui va avoir lieu dans le Quadrant Nord avant la répartition des troupes.

Le prêtre face à Kesh n'a pas l'air beaucoup plus heureux ou sympathique, mais il grimace un sourire en apprenant que le serpent est prêt. Il entraine celui-ci par une nouvelle ribambelle d'escalier pour finalement arriver dans une pièce dont tous les murs sont recouverts de fresque sanglantes et d'objets servant probablement au culte meurtrier du Cyric. Une odeur écoeurante de sang frais flotte dans la pièce et Kesh se sent dans une forme extraordinaire. Il prend place aux coté du prêtre agenouillé face à un autel surmonté d'un symbole indiscutablement divin représentant le Dieu du Meurtre.
Après quelques rituels vocaux classiques, le prêtre entre en transe et Kesh ne tarde pas à le suivre. Son esprit explose alors dans un pandémonium infernal d'images toutes plus horribles les unes que les autres et Kesh se retrouve en train de rire sur un immense champ de bataille ressemblant à un charnier, massacrant à tour de bras des elfes du soleil terrifiés. Soudain, tout s'arrète, et Kesh se sent touché par une entité supérieure de malveillance pure, qu'il assimile immédiatement à son Dieu sanglant, lequel semble de fort bonne humeur (pour Cyric), et approuve sa conduite actuelle. Une certaine sérénité envahit la folie de Kesh, qui en conçoit un indicible bonheur, persuadé d'agir avec le soutien de son horrible dieu tutélaire.
Kesh retrouve ses esprits dans la chapelle aux cotés d'un prêtre rayonnant d'une joie extatique proche de celle du Yuan-Ti. Il apostrophe immédiatement ce dernier. Je L'ai senti ! Il était là et soutient notre combat ! Et ce soir, le sang coulera à flots ! C'est le plus beau jour de ma vie !
Kesh est obligé d'amettre qu'il avait très rarement connu une communion aussi intense. Il a le sentiment de voir plus loin et plus clair dans les chemins tortueux du destin, et sa soif de sang est momentanément apaisée.
Toujours hurlant sa joie, le prêtre part en courant dans les couloirs et Kesh se retrouve seul dans la chapelle. Il sait qu'il pourra retrouver le chemin de l'extérieur.

Jalan inscrit dans sa mémoire nombre de détails qui lui avaient échappé la veille et note que ses yeux se sont parfaitement accoutumés à la lumière du grand cristal, tout là-haut. Il passe aussi brièvement par le poste d'archerie principal après avoir suivi distraitement un groupe d'archers bavardant très fort. Il arrive inopinément dans les armureries en cherchant les latrines et récupère son matériel avant de finalement trouver le lieu de son désir. Après quoi il va se sustenter dans une cantine qui croise son chemin, puis retourne à l'air libre observer les préparatifs.

L'homme dont le lit était cote à cote avec celui d'Alucard lui fait un bref sourire puis repond sur un ton qui se veut visibement agréable, sans succès (la voix rocailleuse du guerrier est presque aussi acérée que la double lame qui repose contre le mur proche). Si tu veux, je veux bien un peu d'exercice aussi. Et je t'aiderai à mettre ton armure correctement, aussi.

Thurbo, qui a passé une très bonne nuit, est emmené dans une cantine où il trouve largement de quoi satisfaire son appétit.

Gyllor retrouve toutes ses affaires et médite aisément, se sentant frais et en pleine forme à la fin de sa transe. Il déambule dans les couloirs et finit par arriver dans une sorte de cantine. Après s'être servi, il se trouve une place face à un vieil homme portant lui aussi une capuche, et le baton ouvragé appuyé sur la table à son coté laisse entendre que cet homme est un magicien. Après des débuts laborieux, une discussion s'engage et les deux compères vont examiner le champ de bataille.

[Kneda]

Gyllor n'aime guère discuter pour le plaisir, et recherche plutôt les informations. Il pose donc plusieurs questions durant la marche les emmenant au champ de bataille:

Comment t'apelle t'on?
Tu es spécialisé dans une magie quelconque?
Ou comptes tu te placer durant le combat, et as tu une stratégie particulière ou improvisera tu en fonction de la situation?

[Drags]

Kesh reste immobile quelques instants, puis, soudainement, pousse un terrible hurlement. Il est fier. Il est puissant. Il est la mort.
Il se calme peu à peu, quitte la salle et retourne à sa chambre, tout en récitant des prières à Cyric. De temps en temps il s'arrête et ferme les yeux en touchant son symbole sacré. Il a soif de sang.

Il ne tient pas en place. Sa chambre est trop petite. Il a besoin de tuer. Son impatience le dévore, il doit faire souffrir. Lentement, il part à la recherche d'un larbin à trucider.

[lubaq]

Ture se tourne un instant vers le demi-ogre car un point important lui revient à l'esprit.
Mushrum, tu retiens facilement les noms, tu t'es souvenu parfaitement du miens, mais je le trouve trop long, donc raccourcis le à Ture.

Le temps que cette phrase soit assimilée, Ture demande à Jakesh s'il serait possible d'équiper également Mushrum.

[Vlad Tepesch]

Une fois la phrase assimilé, Mushrum répond :

Ture ? Facile à retenir ça Ture !

[lubaq]

Oui, et à dire aussi.
Mais dis moi : où est ce que tu avais commencé à courser l'ours donc tu m'a parlé ?