[RP] Les Royaumes Oubliés : Le trésor de Cicéro #3

[Hinata]

Ouai je suis d'accord avec toi Mushrum, faut trouver le moyen de sortir d'ici.

[Haldir de Lorien]

Bon, je suggère qu'on sorte tout de suite, pour voir ce qui cause ce chambard.

Dren examine les moyens de sortir.

[Bunker]

Dans l'obscurité, les prisonniers voyent la lumière des torches qui s'agite entre deux planches disjointes de la porte d'entrée.
Quelqu'un approche en courant et crie.
On ne peut pas les laisser là dedans ! Ouvres leur qu'ils aient une chance.
La porte s'ouvre. Dehors un groupe de moines court sur le chemin menant à la bibliothèque.

[Haldir de Lorien]

Dren sort de la pièce avec toute la délicatesse d'un boulet de canon. Il interpelle la première personne qu'il voit. Qu'est-ce qu'il se passe ?

[Bunker]

Un des moine lui répond sans s'arrêter.
Des démons ! Ils sont dans la place. Fuyez !

[Hinata]

Si ces moines ont peur c'est que ces ennmis doivent être redoutable. Je pense qu'on devraient fuir aussi.
C'est ma pensée philosophique du jour.

[Haldir de Lorien]

Je prends bonne note de cette pensée philosophique.
Dren attrape le moine par la manche sans la moindre douceur, mais sans hostilité. Il déclare d'un ton badin. Dîtes moi, où pourrions-nous trouver nos armes ?

[Bunker]

Aucune idée. Essayé les autres casernes.
Dit-il en montrant des batiments voisins semblables à celui où les aventuriers ont été enfermés. Il se dégage rapidement et rattrappe les autre moines en dégainant son épée.

[Haldir de Lorien]

Dren fonce vers les dites casernes en hurlant au passage à ses compagnons de fouiller les autres pour retrouver leurs armes.

Une fois arrivé à la première, il entre et observe les lieux.

[Hinata]

Bon bah quand il faut y aller, faut y aller. Mushrum suit nous, on change d'auberge.

Elle suit Dren.

[lubaq]

Des démons? Ces Zents ne font pas dans le détail.
Tahl-Fir-Dre arborerait une rictus de satisfaction s'il n'avait pas obligation de ce dissimulé et s'il ne sentait pas tout d'un coup sa vie en danger.

Ruver ramasse son sac et en sort la dague bien effilée volée quelques jours plus tôt.Elle convient pour attaquer mais pour me protéger il sera préférable d'utiliser un des sabres.

Et il sort, observe instantanément l'alentour pour voir s'il peut localiser les démons, puis file fouiller l'autre caserne la plus proche conformément aux attentes de Dren.


Jugeant le drow physiquement inapte à l'enfonçage de porte, Fern court pour le précéder et mettre ses talent en pratique.
Laissez passer!!! Crie t’il gaiement en montant armé d'un pied-de-biche à l’assaut de la porte.

[Maniel]

Mangemort se leve lentement de la table, tout en finissant sa chope, et lorsque celle ci s'écrase sur la table, il sourit bien fort a travers sa moustache de mousse.

D'la baston? ça c'ay dla bonne!

Et il court, tout en s'essuyant la bouche d'un revers de manche, jusqu'a la bibliotheque, se servant de ses grandes jambes pour rattraper Erhiien. En chemin, il sort une de ses haches de combat, et une hache de lancer, il les fait tourner dans ses mains pour échauffer ses poingets.

[Tsubara]

Il lance a Dren

Faut retrouver nos armes ou alors on sera transformer en paté pour troll!!

[Bunker]

Dren trouve les armes dans la première caserne qu'il visite. Elle sont toutes posées à même le sol, devant un ratelier semblable à celui qui a été enlevé dans la caserne qui leur servait de prison.

Erhiien et Mangemort arrivent à la porte Ouest de l'encainte intérieur. Les combats font rages ici.
Les moines guerriers armées de leurs épées affrontent des créatures repoussantes. Les monstres ont un torse et une tête vaguement humamoïde, mais leurs corps devient informe à partir de la taille. Comme si leurs jambes avaient fondues. Les abominations fond un peu moins d'1m50 et se déplace en se trainant sur le sol. Leur visage exprime une expression de profonde détresse.
Prise isolément, ces créatures semblent complètement inoffensives. Mais leurs nombre considérable les rend beaucoup plus dangereuses.
La vingtaines de moines doit faire face à une cinquantaine de monstres de chaire fondue, et d'autre semblent encore arriver.

[Haldir de Lorien]

Dren appelle les autres et commence à ramasser ses armes.

[Lex]

Erhiien sort son épée...

Mangemort, crois tu que nous pouvons nous frayer un chemin à l'intérieur de la bibliothèque ?

Nous devons y entrer... Mélinda, j'espère que tu tiens bon et que tu es toujours en vie.

Il s'avance du front, pret à aider les moines.

[Vlad Tepesch]

Mushrum vient voir pourquoi Dren l'appelle.

[Hinata]

Ceridwen récupère son arc et regard pour voir si la halebarde de l'armure magique n'est pas encore là, si elle est encore là, elle l'a saisit aussi.

[lubaq]

Ruver-Qua-Ture accourt vers le Semi-nain bruyant et s'empresse d'aller re-fixer ses armes à sa ceinture. Fern en fait de même et prend en main l’arbalète de poing des trafiquants.

Quelque peu rassuré, Tahl-Fir-Dre range sa dague pour ne tenir que la garde de son meilleur kodachi, prêt à le dégainer à tout moment ou le lâcher en fonction de l'embûche. L'autre main, étant aussi bien appelée à brandir une arme qu'à agripper le sac de voyage, reste libre.

Tandis que le drow tend l’oreille à la recherche de bruits de luttes, l’halfelin demande :
On chasse quoi aujourd'hui : l’individu drapé de noir ou les démons ?

[Maniel]

Si tu est pret a combattre, alors je te conseille de viser la tete...

Mangemort range sa hache de lancer, et prend une seconde hache de combat.

Il saute dans la mélée et tranche le plus possible afin de s'ouvrir un passage vers la seconde salle.

[Vlad Tepesch]

Mais Dren, il y a rien à mangé ici, pourquoi tu nous as fait venir?

[Lex]

Erhiien suit Mangemort dans la mélée... Il couvre les arrières de ce dernier.
Bien compris !

[Haldir de Lorien]

Vient avec moi, Mushrum, on va chercher à manger !
Sitôt équipé, Dren sort et court en direction des combats, brandissant Snaga.

[Tsubara]

Haroldar reprend tout son matériel. Il brandit sa hache a deux mains. Les monstres sont proches mais comme il ne sait a quoi ils ressemblent, il regarde de tous les cotés.

[Vlad Tepesch]

Mushrum suit Dren, en laissant toujours trainer sa massue sur le sol. Il n'a pas compris qu'ils allaient à la chasse.

Merci, t'es un vrai copain.