[RP] Les Royaumes Oubliés : Le trésor de Cicéro #2

[Drags]

Fern pose un doigt sur sa bouche et attend que l'aubergiste soit passé pour ouvrir la porte et continuer.

[Bunker]

L'aubergiste disparait dans l'escalier en colimaçon, seule s'attarde la faible lumière de la chandelle. Dans quelques instants, ce sera le noir complet.

[lubaq]

Arrivé dans sa chambre, Tahl-Fir-Dre n'allume pas la lumière, il dépose son sac et son manteau à coté du lit de façon à n'être encombré que de ces kodachis (et accessoirement de ses vétements) et fait un rapide tour de la pièce. Il évalue les liberté de mouvement qu'offre cette chambre ainsi que les posibilités de cacher des individus ou objets.

Il me faudra aussi le plus d'obscurité possible ici, si jamais le casse dégénère, pour attirer le moins d'attention possible en entrant et aveugler un poursuivant trop inspiré.
Tahl-Fir-Dre compare l'obscurité actuelle de la chambre, à la vision supposée d'un humain ayant veillé dans le noir, à sa propre vision, et regarde si la ou les meurtrières sont obstruables ou s'il est possible de fixer un tissu pour les obstruer.

[Bunker]

La chambre n'est pas trés grande et forme un carré de quatres mètres de côté environ. Son ameublement est spartiate un lit avec un matelas un peu dur, une commode en bois usée et un bougeoir posé sur une petite table de chevet.
Mise à part la meurtrière qui laisse rentrer un peu la lumière des étoiles, il fait complètement noir.
La meurtière est obstruable avec un morceau de tissu si peu qu'on en ait un.

[lubaq]

Tahl-Fir-Dre bouche la meurtière avec son manteau puis se dirige silencieusement vers la porte qu'il entrouve s'il n'entend aucune présence dans le couloir. Il jette un oeil au couloir et s'attarde sur l'éclairage et les chemin qu'il faut faire de l'escalier à la chambre.

[Bunker]

L'escalier est à une demi-douzaine de mètres de la porte, il n'y a aucun bruit. La chambre se trouve au deuxième étage.

[lubaq]

Tahl-Fir-Dre monte silencieusement au dernier étage, vérifie aux bruits puis de visue qu'il n'y a aucun garde dans le couloir, avant de chercher sans bruit la la porte de la chambre au balcon en se basant sur ce qu'il a vu dehors.

Une fois la porte trouvée, il ne l'ouvre pas, il évalue juste l'état d'éveille de ses occupants, en analysant la lumière qui émane des lainteaux et les bruits qui échapent de la pièce.

Ceci fait, sans perdre de prudence, il cherche à gagner le toit pour entendre ou voir s'il n'y a pas un garde la haut.

[Bunker]

Tahl-Fir-Dre arrive au dernier étage, les escalier et les couloirs ne sont pas éclairés. Il hésite entre deux chambres côte à côte, mais de toute façon leurs occupant semblent dormir profondement, un ronflement sonore en témoignant.
Tahl-Fir-Dre trouve rapidement un escalier permettant de rejoindre les toits.


De leur coter Fern et Jilin entament leur ascension à tâtons dans l?obscurité totale. Fern entend Jilin derrière lui ; le jeune homme semble avoir du mal à progresser en aveugle, il bute quelques fois contre les murs et trébuche de temps à autre sur les marches abruptes.
Les deux hommes traversent ainsi cinq étages. L'escalier débouche finalement sur une petite salle. Une pale lumière émane du plafond, la lumière des étoiles. Fern lève la tête et aperçoit une trappe en bois en mauvais état. Quand il rebaisse les yeux, Jilin est déjà en train d'appuyer contre le mur une échelle qui était couchée sur le sol.


Les trois hommes arrivent sur le toits. Un fort vent froid leur balaie le visage, ils ne peuvent s'empêcher de frissoner.
Tahl-Fir-Dre à tôt fait d'apercevoir ses compagnons un peu plus loin sur une tour. Les trois hommes se rejoignent.

Jilin demande. On y va ?

[lubaq]

Ruver-Qua-Ture répond sans répondre.
Tout est calme dans la chambre donc il va falloir vériffier de visu.

Tahl-Fir-Dre se rapproche du mur d'un pas léger, regarde ce qu'il y a sur le balcon et s'il n'y a personne, ce penche prudement dans le vide pour mieux distinguer l'ouverture entre la chambre et le balcon.

[Bunker]

Tahl-Fir-Dre voit le balcon quelques mètres plus bas, il n'y a personne dessus. Le balcon semble séparé de la chambre par une porte en bois.

Le sol est loin en dessous, une chute de cette hauteur serait fatale.

Jilin s'approche, il attache solidement sa corde autour d'un créneau au dessus du balcon.

[lubaq]

Bien, je descend en premier et je vous fais signe si le garde est endormie.
Murmure Ruver-Qua-Ture avant de se saisir de la corde, vérifier qu'elle est bien attachée et déscendre lentement le long du mur en déroulant la corde au fur et à mesure pour qu'elle n'aille pas toucher le balcon avec fracas.

En bas, il vérifie qu'il n'entende encore que des ronflements puis cherche une possible ouverture dans la porte pour voir l'interieur de la chambre sans ouvrir la porte

[Bunker]

Tahl-Fir-Dre arrive sur le balcon sans un bruit.
Beaucoup plus bas, il entend les gardes de l'auberge discuter.
Derrière la porte en bois, l'elfe noir entend toujours les ronflements.
La porte ne possède pas de poignée et elle s'ouvre vers l'intérieur.

[lubaq]

Tahl-Fir-Dre pousse lentement la porte, il veux juste savoir si elle est verrouillée ou si on peut l'ouvrir silencieusement.

[Bunker]

La porte s'ouvre mais grince légèrement.

[lubaq]

Tahl-Fir-Dre interomp son mouvement dés perçoit le grincement. Il s'immobilise et retient son souffle, il est à l'affût d'une réaction venant de la chambre.
Pourquoi on se fait chier à passser par dehors au fait? Ça coupe notre retraite, la porte grince, et en plus toute ouverture provoquera une rafraichissement de la pièce et une hausse de la luminosité. S'ils ont le sommeil léger ou sont frilleux, ce plan est voué à l'échec.

[Bunker]

Tahl-Fir-Dre n'entend rien de nouveau à l'intérieur.
Pendant ce temps, Jilin et Fern descendent sur le balcon.
L'espace commence à être encombré.

[lubaq]

Tahl-Fir-Dre regarde si l'ouverture actuelle de la porte lui permet de jeter un oeil à l'intérieur de la chambre.

[Bunker]

L'ouverture permet à Tahl-Fir-Dre de se glisser à l'intérieur s'il rentre le ventre.

[lubaq]

Calme, ce serait un comble que les battement de mon coeur les réveillent.
Tahl-Fir-Dre a un sourire puis se lance : il entre sur la pointe des pieds, fin au possible pour ne pas forcer sur la porte, les mains sur les gardes de ses armes et les sens en alerte.

[Bunker]

L'elfe noir se retrouve dans une vaste piece meublée de deux grosses amoires et d'un gros lit à baldaquin.
Un homme bien portant et couché sous les épaisses couvertures, sa bedaine se soulève au rythme de son ronflemnt régulier.

La chambre d'auberge et composé de deux pièces, séparées uniquement par une ouverture dans le mur.

[Maniel]

Maniel, après avoir respiré pleinement l'air frais de la nuit, retourne a l'auberge et monte dans sa chambre, avec tout son atirail.

[lubaq]

Tahl-Fir-Dre s'approche prudement de l'ouverture et observe ce qu'il y a dans la pièce adjacente.

[Bunker]

Dans la deuxième pièce Tahl-Fir-Dre voit une table ronde entourées de quatres chaises. Un homme enroulée dans une couverture dort à même le sol.

[Bunker]

Fern et Jilin entre à leur tour dans la chambre, sans aucun bruit.
Les trois hommes se mettent aussitôt en quête de l'objet de leur visite.

Grace à son excellente vision dans l'obscurité Tahl-Fir-Dre découvre rapidement un petit coffret ouvragé. Après l'avoir inspecter un instant et n'avoir rien découvert de suspect, il se saisit de la petite boite... qui se met aussitôt à émettre un sifflement strident semblable à celui d'une alarme. Toute l'auberge se réveille en sursaut.

L'elfe noir lache aussitôt l'objet et fonce vers la porte de la chambre précédé par Jilin qui la défonce d'un coup d'épaule.

Fern pensant à la corde restée dehors et qui pourrait attirer les soupçons sur le jeune garçon d'écurie passe par le balcon et entame une ascencion rapide. Derrière lui il entend le marchand tomber de son lit avec un hurlement de panique semblable au cri d'un marcassin.

Au moment où il passe la porte, Tahl-Fir-Dre voit du coin de l'oeil, l'homme enroulé dans sa couverture se lever d'un bond. Ce dernier prononce deux mots rapides et tend un doigt vers l'elfe noir qui a juste le temps de faire une roulade sur le côté pour éviter un énorme pique de glace qui siffle dans l'air à l'endroit où se trouvait son coeur un quart de seconde plus tôt.

Sans demander son reste Tahl-Fir-Dre fonce vers les escaliers qu'il dévale quatre à quatre en manquant à chaque pas de se fouler les chevilles. Mais il n'aperçois pas Jilin qui a du prendre une autre route. Derrière lui il entend l'homme se lancer à sa poursuite, mais celui ci ne peut pas suivre le train effréner de Tahl Fir Dre dans l'obscurité. Le temps qu'il invoque une petite sphère lumieuse, l'elfe noir a déjà filé.

De son côter Fern arrive sur le toit le coeur battant. Il réenroule rapidement sa corde et se cache dans l'ombre d'une tour le temps que l'agitation se calme.

Tahl-Fir-Dre commence à voir la lumière des bougies filtrer sous les portes quand il arrive à l'étage où se trouve sa propre chambre. Il passe dans le couloir à pas feutrer en adressant une bref mais fervante prière à Olidarama afin que personne n'ouvre sa porte à ce moment.
Une fois dans sa chambre, il se laisse tomber dos à la porte et reprend doucement son calme tandis que des cris de protestations montent des chambres voisines contre la sirène désagréable.

La sirène cesse au bout de quelques minutes et le silence reprend doucement place dans l'auberge, entrecoupé par quelques passages de pas bottés dans les escaliers.

Tahl-Fir-Dre se couche tandis que Fern prend le chemin précédent dans l'autre sens pour retrouver l'extérieur de l'auberge où il retrouve Jilin encore tremblant mais heureux et pour le moins exité.
Après une brève discussion le garçon d'écurie invite Fern à prendre un box dans l'écurie. N'ayant pas loué de chambre pour la nuit le Halfelin s'exécute et s'installe dans un bon tas de foin pour la nuit.
Malgrés l'exitation, il trouve rapidement réconfort dans les bras de Morphée.

Le lendemain matin dans la grande salle de l'auberge tout le monde parle de l'étrange sirène de la nuit.
Fern seul manque à l'appel.

[Lex]

Kyuzo est calme comme à son habitude. Il se conntente de prendre son petit déjeuné. Il a une idée très claire sur ce qui a troublé son sommeille. Il semblerait que ce soit un sort d'alarme, c'est bien dommage que j'ai mon honneur à lavé, sinon, j'aurais pu trouver un bon job...