[RP] Les Royaumes Oubliés : Le trésor de Cicéro #3

[lubaq]

Partisant du moindre effort, Tahl-Fir-Dre procède à un test : il rammasse un avant bras portant encore de la chaire, l'allume à la torche de Tuhrbo, et si ça brule bien, le lance sur un des zombies qui se raprochent par l'arrière.

Fren ne veux pas perdre de carreaux inutilement, il raccroche l'arbalète à sa ceinture et sort l'épée courte. Il s'approche ensuite de Muschrum et essaie prudement de décapiter les morts-vivants qui pénètrent la garde de ce dernier.
Allez mon gros fait de grands mouvements pour déblailler le chemin, je me charge de ceux qui te blesse.

[Lex]

Erhiien suit le mercenaire et lui dit :
La prochaine fois que nous jouerons, essaies de me faire moins mal !

Une fois qu'Erhiien voit l'enseigne de l'auberge, il dit alors à l'homme :
Laisses moi te payer une chope de bière... Je sens que nos histoires sont liées, et il serait dommage que nous commencions si mal.

[Hinata]

Ceridwen continue de frapper en essayant de tenir debout, elle essaie de voir si il reste encore beaucoup de mètres à parcourir avant d'arriver à l'écalier.

[Maniel]

Notre histoire commence mal? Pourtant, quoi de mieu qu'une petite rixe pour détendre l'athmosphere... En tout cas, si tu veut un conseil : La prochaine fois, evite de faire exploser la piece...

Sur ce, Mangemort entre et commande une chopine de bierre, qu'il coupe avec un alcool fort qu'il portait avec sa nouriture.[/i]

[Lex]

Erhiien commande quand à lui une pinte de cidre. Il va ensuite s'assoire à une table avec le barbare.

Au fait, je m'appel Erhiien. Et toi ? Ca te dis une partie de dés ?

[Maniel]

Apelle moi EmGuet, ou Mangemort, comme tu veut.

Une partie de dés? Tu compte encore faire peter quelque chose?

[Lex]

Non, ... C'est juste histoire de faire un peu passer le temps.
Sinon, que fais tu à la citadelle de la Science ?

Erhiien fouille dans son sac, il cherche sa paire de dés.

[Maniel]

Oh, ça, il s'agit d'un secret professionnel... Je ne peut pas t'en parler, cela me ferait perdre toute crédibilité en raison de mon code de l'honneur.

Mangemort regarde dans l'auberge pour voir si il n'y a pas un début de bagare, ou juste pour observer ce qui l'entoure.

[Lex]

Si tu ne veux pas m'en parler, aucun problème.

Erhiien regarde aussi l'intérieur de l'auberge, mais il cherche (du regard) d'avantage un barde ou toutes personnes semblant pouvoir lui raconter une histoire.

Puis il demande à Mangemort :
Toi qui est un guerrier, peut être as tu une histoire ou deux à me conter. Ton meilleur combat par exemple.

[Maniel]

Mon meilleur combat? Et bien, tout dépend ce que tu recherce... Un exploit? Une tuerie? Un défis a mains nues?

[Lex]

Un jour où tu as été porté en triomphe...

Erhiien trouve enfin ses dés, il les prend dans sa main, puis les pose sur la table.

J'ai envie de te connaître d'avantage.

[Bunker]

Erhiien ne voit pas de barde dans l'auberge.


La chair des morts ne brûle pas facilement, Tahl-Fir-Dre sort donc ses deux Kodachis et se met à trancher les membres de zombies qui s'approchent trop de lui.
L'état de fatigue devient critique, mais au moment où certains sentent qu'ils vont bientôt baisser les bras, la foule de mort vivant s'ouvre sur un petit escalier étroit. Les aventuriers s'engagent aussi vite qu'ils le peuvent encore dans ce qu'ils espèrent être un porte de sortie. Malheureusement, l'escalier se termine en cul de sac....et les morts-vivants entament doucement l'ascencion. Ils sont fait comme des rats.
Une grosse dalle bloque la sortie. Par les interstices entre la dalle et le mur, les aventuriers peuvent voir flitrer un peu de lumière et sentir un petit air frais.
Derrière, l'air libre.

[Haldir de Lorien]

Dren examine la dalle avec le soin pointilleux de celui qui sait qu'il doit bouger ce gros caillou fissa sous peine d'être mangé par une horde de morts-vivants antipathiques.

[Maniel]

Mangemort essai de se souvenir de son plus grand exploit.

Et bien, il me semble que c'était il y a trois ans. Je venait de partir aider un ami (engager comme garde du corp...) lors d'un de ses voyages. Il était marchand, et lorsque nous partimes, des hordes de voleurs se préparaient. Ils nous ont harceler pendant tout le voyage, et en arrivant, voyant qu'ils allaient louper leur butin, ils ont attaquer. Comme je l'avais promis a mon ami, je l'ai défendu. Je crois avoir tuer 54 voleurs ce jour la, peut etre un peut plus. Et, en arrivant, mon ami me dit que ce que nous transportions étaient des plans que quelqu'un avait subtiliser a l'ennemi. Et, lorsque les généraux surent que leur victoire m'était due, il me firent un honneur et nous mangerent tous autour d'un très grand banquet. Au final, ils perdirent quand meme la bataille, mais j'avais tout de meme été adoré entre le moment ou j'ai ramener les plans, et la veille de la bataille. Quand j'y repense, j'aurai peut etre due y participer a cette bataille...

Enfin voila, je sais que je raconte très mal les histoires, je ne suis pas poete, ni bouffon, mais je pense que tu comprend tout l'honneur qui m'était dut.

Mais si on parle d'amour propre, je pense que mon plus grand exploit est d'avoir gagner a plusieurs reprise des immenses joutes et tournois dans plusieurs régions diférentes...


Et toi, qui est tu?

[Vlad Tepesch]

Mushrum pousse très fort.

Gué, sortir !

[Bunker]

La dalle bouge sous le poids de Mushrum. Derrière les Morts vivants rattrappent les premiers retardataires. Haroldar décapite un zombie avec les peu de force qu'il lui reste.

Thurbo arrivet elancer sur la dalle et pousse d'un seul coup à côté de Mushrum. La dalle avance d'un seul coup puis bascule.
Mushrum et Thurbo empotés par leur élan, tombent avec elle.
La lumière s'engouffre d'un seul coup dans le couloir sombre éblouissant brèvement les aventuriers.

Quand leur yeux s’habituent à la lumière ils découvre une salle austère éclairées par des vitraux accrochés très haut sur les murs. Quatre gros piliers en pierre soutiennent le plafond. Une statue en pierre blanche trône au milieu de la salle représentant un homme, debout, vêtu comme un moine, sa grande capuche renversée sur ses épaules et observant une position de prière, les yeux levés vers le ciel.

Une grosse porte à double battant s’élève en face et deux plus petites sur les murs de part et d’autre de la pièce. Deux escaliers s’élèvent de chaque côté et se rejoignent pour atteindre un point situer juste au dessus de leur tête.

Malheureusement, tout ceci est pour le moment inaccessible. Une rangée de douze épées, tenues fermement par des hommes en robe de bure, leur barre le passage. Derrière, deux moines encapuchonnés, les mains cachées par les larges manches de leur aube brune, semble attendre, le menton collé à la poitrine.

Un homme habillé d’un ensemble en cuir épais, qu’on met généralement sous les armures lourdes pour que les plates n’écorchent pas la peau, passe entre deux guerriers et s’avancent vers les PJs. Une simple épée pend à sa ceinture, il prend la parole avec une voie grave et autoritaire :
- Je suis le troisième Sentinelle. Vous avez pénétré dans l’enceinte de Château Suif sans autorisation. Poser vos armes et laissez vous appréhender sans résister. Nous n’hésiterons pas à utiliser la force.
Pour appuyer ses mots il pose une main sur le pommeau de son épée.

Derrière, les squelettes ont stoppé leur progression mais ne reculent pas pour autant.

[Lex]

Comme je te l'ai dit, je me nomme Erhiien. J'ai été l'élève de Daemhynor Whisperwind, d'ailleurs l'épée que je porte est un cadeau de mon maitre. Son nom ne te dit peut être pas grand chose, mais il est l'un des meilleurs chantelame de tout les royaumes.

Erhiien se passe ensuite une main dans les cheveux, puis il continue.

Ce que je vais te dire vas sans doute te paraittre bizare et incroyable... Il reprend son souffle un instant, comme pour accroché le barbare à ses lèvres. Il en profite pour glisser ses dés dans son sac.

Erhiien se lève et commence à marcher dans l'auberge. Il parle assez fort pour que Mangemort l'entende, ainsi que la plus part des personnes présentes.

Un jour, poussé par une brise, simplement guidé par les vents, je suis parti sur les sentiers de l'aventure.
Traversant monts et vaux, je me suis retrouvé en un endroit des plus magnifique. Forêt verdoyante, rivière aux reflets d'argents et le doux chants des oiseaux. Le soleil timide se couchait alors que la lune montrait ses rondeurs exquises.
C'est alors qu'en un fracquat effroyable, tout les oiseaux se tûrent...... et s'envolèrent.

Erhiien mîme la surprise, cherchant du regard ce qui peut bien arriver.

C'est alors que, plus vite qu'il ne faut pour le dire, un ogre des plus massifs se dressait face à moi, de l'autre côté de la rivière...
Il devait bien faire quattre mètres de haut avec la tête de l'emploi. Enfin, la gueule de l'emploi pour les légions du Seigneur Noir, bien entendu !

Le demi-elfe fait alors la pire grimace qu'il connait, tire la langue et prend un air de demeurré.

Le monstre se saisit alors de son marteau de guerre et me charge.
N'écoutant que mon courrage, je dégaine mon épée et me prépare à combattre.
Tout en parlant, il sort l'épée du fourreau et fait quelques moulinets en l'aire puis prend une garde basique.
Après une courte réflexion... Il faut dire que le bestiau se déplaçait vite... Je me suis dis qu'il vallait mieux éviter le coup qui venait que d'essayer de le bloquer.
Erhiien fait un bon de côté, rapide, précis et surtout gracieu.
Vu sa taille, mon adversaire possédait une allonge bien supérieure à la mienne. Sacré désavantage...

Le demi-elfe, attrape vite fait sa chope, boit un peu, puis continue son histoire :
Cet ogre, bien que rapide et agile, cachait encore son jeu. Car le pire restait à venir !......
Notre "ami" commence à articuler des mots sommaires, qui s'enchaînent, qui s'enroulent et bien sûre qui finissent par lancer un sort... Enfin, une boule de feu pour être précis.
Tout semblait fini me direz vous... Eh bien non ! La preuve, je suis toujours là !

Il rit un peu de sa bétise, reprend son sérieu et enchaine sur la suite :
J'évitais alors le projectile d'une suite de saltos arrières... Et repart à la charge !
Feinte à gauche, feinte à droite... J'évite les coups de mon adversaire et me rapproche de lui. Erhiien avance dans l'auberge comme s'il se battait contre un ennemi imaginaire. C'est alors qu'il recommence à brailler ses mots de pouvoirs. Ahahah.... Je ne me laisserai pas prendre deux fois à ton petit jeu !
Je lui coupe alors l'arrière d'un genou, déconcentrant alors le monstre et le fesant mettre genou à terre. J'enchaine alors les coups de pointes, d'estocs, de pointes, d'estocs.... Et fini par lui trancher la tête !

Le demi-elfe léve alors les bras en signe de victoire, et salue l'assistance. Merci, merci...

Il retourne ensuite à sa table, discuter avec Mangemort.
Alors, ça t'en dis un peu plus sur moi ?

[Bunker]

Soudain, depuis l'intérieur de l'auberge, Erhiien et Mangemort, entendent des cris des ordres donnés sur un ton militaire et des bruits de personnes en armure se mettant à courir.

[Lex]

p****n, qu'est ce qu'il se passe ici ?

Le demi-elfe ne s'assoit même pas. Il prend son sac à la main, et va à la porte pour voir ce qu'il s'y passe. Pendant qu'il marche, il remet son épée au fourreau.

[Maniel]

Mangemort se leve et suit le semi elfe.

J'en dit que tu as de la chance, beaucoup de chance. Tout d'abord, un ogre fait dans les trois mètres de haut, je le sais, j'en ai vu plusieurs fois de mes propres yeux. Si celui que tu as affronté était si grand, tu as bien de la chance d'etre encore en vie.

Secondement, tu as eu beaucoup de chance tout a l'heure, j'était de bonne humeur, car d'habitude, lorsque quelqu'un me propose un défis, c'est un défis a mort, qu'il le veuille ou non.

Mais je suis content de t'avoir rencontré, on a toujours besoin de quelqu'un de chanceu dans ses connaissances.

En sortant de l'auberge, Mangemort amene ses mains a ses haches, et défait les noeuds qui les retiennent a sa ceinture. Elles ne sont plus retenues que par une petit bout de cuir, qui s'arrache facilement.

[Bunker]

Un homme en harnois passe devant Erhien et Mangemort suivit par une douzaine de moines en aube brune. Les deux hommes peuvent voir l'éclat de lames d'épées dans les replis de leur leur robe. Ils semblent pressés et se dirigent vers la bibliothèque.

[Maniel]

Mangemort suit l'homme, entrainant Erhiien avec lui.

J'ai une connaissance la bas, et si il s'y passe quelque chose, je doit aller l'aider.
Lorsque ce sera finit, je te raconterai quelque chose. Tu n'as pas hésiter a me raconter ton passé, je te conterai mon emploi.

[Haldir de Lorien]

Dren se rapproche de l'homme, pose sa hache à l'envers devant lui et s'accoude au pommeau en marmonnant. Sans permission peut-être, mais pas sans mérite.

Il s'adresse ensuite à l'homme, d'un ton presque jovial, avec une sorte de grimace qui aurait du ressembler à un sourire. Croyez bien que nous sommes infiniment désolés de n'avoir pas sollicité la permission d'enfoncer cette dalle, mais les occupants de la salle attenante ne nous en ont pas vraiment laissé la possibilité. Par ailleurs, nous n'avons rencontré personne pour nous la donner.

Dren écarte ensuite sa hache, tête toujours au sol, et la tient comme une canne, ou plutôt comme un baton d'appui. Il a l'attitude tranquille de quelqu'un qui n'est pas venu pour emmerder le monde. On perçoit aussi qu'il est content de tomber enfin sur quelqu'un qui soit capable de discuter.
Un éventuel télépathe constaterait un bonheur sans nom d'être entré dans la ville du savoir.

[Vlad Tepesch]

Mushrum reprend son souffle sans répondre. Il essaie d'assimiler tout ces mots.

[Lex]

La bibliothèque... Mélinda ! Je dois y aller !

Erhiien prend un air un peu plus grave en voyant les moines. Il accèlere l'allure, ne se laisse pas balloter par Mangemort. Il suit les gardes.

Moi aussi, j'ai quelqu'un à la bibliothèque... Et je m'en voudrai toute ma vie s'il lui arrive quelque chose !