[RP] Les Royaumes Oubliés : Le trésor de Cicéro #2

[Haldir de Lorien]

Dren se retourne vers le halfelin et fait une espéce de sourire sympathique. J'examine ce sarcophage, c'est intéressant comme réalisation.

Dren regarde si quelque chose est gravé sur le livre, ou si la sphère peut bouger, à première vue (toujours sans la toucher).

[Bunker]

La sphère ne semble pas pouvoir bouger et il n'y a rien d'écris sur le livre.

[Maniel]

Maniel avance d'un pas vers le centre de la piece, est essayant de ne pas utiliser la partie douloureuse de son anathomie, mais son souffle court l'empeche d'avancer, et il reprend sa respiration a chaque pas.

Pour se donner du courage, il vide une gourde d'alcool fort et commence a divaguer.


Tout pour ma gueule, ma jolie jolie gueule, tout pour la biere et le tabac!
Tout pour les femmes aussi, a nous les plus jolies, patron sert nous un verre de Tafia!

[lubaq]

Les yeux plein de malice, la torche brandit proche du sarcophage, Fren tourne autour du coffre mortuaire, l'observe.
Et on l'ouvre comment? C'est lourd?

[Haldir de Lorien]

C'a en a l'air. Je ne sais pas s'il est consuillé de l'ouvrir ou non.

[lubaq]

L'Halfelin regarde Dren et lui demande innocemment :
Et comment on sait ce qu'il y a l'interieur si on ne l'ouvre pas? Comment on sait que ce n'est pas conseillé si on n'essaie pas?

[Haldir de Lorien]

On réfléchit. Et si ça ne marche pas, on ouvre.

[Hinata]

Non on n'ouvre pas, la dernière fois qu'on à ouvert quelques chose on a eu un mort. On observe d'abord si il n'y a rien d'autre dans la pièce.

Ceridwen se concentre pour voir si il n'y a rien d'autre dans la pièce et essaie de se concentrer aussi sur son ouïe pour voir si on n'entend rien dans les pièces environnantes.

[Bunker]

Ceridwen n'entend rien, excepté les discussions de ses compagnons et le raclement de leurs bottes sur les dalles de pierres.

[lubaq]

Hummmmmmmmmmm
L'Halfelin ferme les yeux, crispe le visage et se gratte longuement le cuir chevelu.

Tout à coup il se retourne et cherche quelque chose dans son sac.
Quand il fait à nouveau face à ces deux interlocuteur, Fren déclare tout souriant :
Ça marche pas!

On ouvre? continue t'il en brandissant un pied-de-biche.

[Vlad Tepesch]

Et si on tapait dessus?

[Haldir de Lorien]

Dren fait un signe négatif de la tête.
Pas pour le moment. Pour commencer, nous allons faire un peu de lumière. Aidez-moi, maître halfelin.

Dren attrape sans trop discuter la torche de quelqu'un et commence à allumer les torches réparties sur les murs de la pièce.

[lubaq]

D'accord!
Sitôt l'aide demandée, Fren tend sa torche à Dren.

[Bunker]

La pièce s'éclaire sans pour autant devenir plus chaleureuse.
Le silence mortuaire qui reigne dans cette tombe est un peu oppressant.

[lubaq]

Fren fait à nouveau le tour du sarcophage mais cette fois ci en regardant s'il ne comporte pas un piège gros comme Mushrum, comme par exemple qu'il repose sur une dalle étrange laissant penser à une pèse-trésor anti-chapardeur ou anti-repos-du-SDF.

[Bunker]

Fern ne voit rien de spécial. Il n'y pas de piège apparement, mais son instinct lui dit qu'il est dangereux d'ouvrir ce sarcophage.

[lubaq]

D?une voix sérieuse, Fren brise le silence.
Heinhein! Maintenant que l'on y voie plus clair, l'air sordide de cette pièce, l'humain qui titube, les bruissements de parchemin que l'on entend dans la rue Vercator, et divers petits vécus personnels, me laissent à penser qu'il est dangereux d'ouvrir ce coffrage.

Puis l?Halfelin laisse échappé un léger rire joyeux et agit en totale contradiction avec ces paroles.
Il tourne autour du sarcophage, d?une main brandissant son pied-de-biche et de l?autre effleurant du bout des doigts la jointure du couvercle à la recherche d?interstices propices à accueillir outils. Pour l?instant, il les cherche mais ne les utilise pas.

[Haldir de Lorien]

Bien. Dren élève la voix. Je pense que nous devrions décider ensemble d'ouvrir, ou non, ce sarcophage.
Qui est pour ?

[lubaq]

Moi! Par ce que je le sent pas du tout donc c'est hyper dangereux. Déclare gaiement Fren en sautillant tout souriant.

Tahl-Fir-Dre, lui, reste impassible, il est tellement absorbé par la tache qu'il s'est fixé qu'il ne fait plus du tout attention aux discutions de ces compagnons, aussi bruillantes soient elles.

[Vlad Tepesch]

Je tape dessus?

[Bunker]

Tahl-Fir-Dre entend soudain un bruit métallique, il relève la tête par réflexe... Les deux armures qui gardent la porte n'auraient-elles pas bougée ?

Fern lui n'a rien entendu mais il trouve un endroit ou plaçer son pied de biche. Aucun moyen que le sarcophage ne lui résiste maintenant.

[lubaq]

Deux des protagonistes se mettent à parler avec un débit rapide.

Glups, craintes fondées.
Stop! Qui a touché à quoi? demande le drow d'une voix claire et apeurée.

Fren qui s'apprêtais à glissé le pied de biche dans l'interstice du sarcophage, s'arrête net et se retourne en planquant son outils derrière son dos.
Personne, rien. Pourquoi? répond-il d'une petite voix en forçant le mensonge de façon à ne duper personne.

Ces gardes magiques ont bougés. réplique l'érudit encore sous le choc.
Accroupit près à se relevé, il pointe du doigt et du regard les armures et porte la main restante à la garde d'un kodachi.

Thurbo! Il doit faire des trucs pas net à rester planté dans l?obscurité. enchaîne l'Halfelin sur un air de rigolade en pointant lui la tenture.
Néanmoins il observe ce que montre Ruver-Qua-Ture pour vérifier ses dires et crispe sa main sur le pied de biche qu?il continue à dissimuler grossièrement.

[Bunker]

Fern voit les deux armures, mais elles semblent totalement immobiles.

[Haldir de Lorien]

Dren pose son sac, attrape Snaga et se dirige posément vers les armures.

[Maniel]

Maniel, dans sa beuverie solitaire, tente tant bien que mal d'attraper sa hache. Puis, fier de sa puissance, il marche rapidement, en tangant légèrement, vers les armures.

Tout en marchant, il hurle a plein poumon un chant de guerre de son pays.
A l'attaque criardion! Jamais on a peur des collons!
A l'attaque les amis! Jamais on a peur des ennemis!