[RP] RfyL !
Posté : jeu. 27 mars 2008 02:18:29
Le dernier coup de feu claque, suivi du déchirement écoeurant accompagnant l'explosion de l'occiput d'un zombie. Après un instant d'hésitation, les fusils et les épaules s'abaissent et le silence tombe sur ce coin ravagé de la jadis presque riante Place de la République. Les taches de sang rouge ou noir qui parsèment la neige entre les cadavres disent assez que la bataille a été rude. Seuls une poignée de soldats et quelques civils restent là à se regarder en haletant, tandis qu'une bonne cinquantaine d'humains, dont une vingtaine de soldats, et une bonne centaine de zombies participent de façon plus silencieuse à la scène.
Chacun consulte sa montre ou estime le temps écoulé depuis le début de cette folie. Une grosse demi-heure, trente-huit minutes, un quart d'heure ou une heure, selon les cas. Mais ça pourrait aussi bien remonter au passage du millénaire, car ils ne seront plus jamais les mêmes. Ils ont tous vus des personnes qu'ils connaissaient, tranformées, devenus des monstres hideux de haine, glabres et gris, avides de mordre à la gorge avec leurs grosses canines jaunes. Les quelques amateurs de films du genre ont été outrés un moment, ces zombies ne veulent pas respecter la coutumes et se montrent notablement plus rapides que leurs originaux. Une grand-mère a tué deux soldats avec son déambulateur avant de succomber sous les tirs, pendant la bataille.
La neige tombe trente bonnes secondes tandis que tout le monde savoure le silence, avant qu'un aboiement rompe le charme, déclenchant un appel radio suivi de deux brèves réponses, et un début de mouvement, qui finit par faire boule de neige.
Les survivants quittent leurs points de tirs et se rassemblent au milieu du bitume normalement parcouru par de vastes bus jaunes, achevant les zombies faisant encore mine de gigoter. Pendant leur progression, les soldats se rassemblent, celui au pantalon noir se tournant vers les survivants pour les prendre en photo, les deux autres, en camouflage, suivant en marche arrière en couvrant les alentours, malgré les cadavres. Par signes, le plus petit contraint tout le monde à se déplacer vers un bus plié en deux, pour profiter de sa protection sur deux flancs (surtout contre le vent mordant, de fait).
Répondent à l'appel, outre les deux autres soldats qui répètent les signes tout en se dirigeant vers le dit bus, sept personnes, un chien et une moto (l'un tirant, l'autre poussée).
Derrière le chien, un respectable berger allemand, suit un grand bonhomme basané aux cheveux bruns nattés. Chaudement habillé d'un confortable manteau d'hiver gris sombre, il porte un sac à dos dont dépasse la crosse d'un fusil. Sa ceinture ceint une épée batarde dans un foureau fantaisie et la crosse d'un pistolet dépasse d'un holster de l'autre coté. Il semble qu'il y attache également une sacoche contenant un petit ordinateur qu'il se met à consulter après avoir attaché la laisse du chien à sa ceinture.
[For=Maniel;MJ]Dès le début du phénomène (début auquel il a survécu plus ou moins par chance), alors qu'ils se trouvait dans la rue qui monte de la fac vers la cathédrale, Max a pensé à dévaliser une armurerie, dans laquelle il a trouvé un fusil à pompe et des cartouches de .12, ainsi que du matériel pour augmenter son potentiel de survie. Une belle épée qui ne s'était pas cassée contre le comptoir a été ajoutée à l'ensemble et hardi petit. La laisse de Tek a été remplacée par une corde dont son maître tient les deux extrémités. Il lui suffit d'en lacher une pour libérer le chien.
Malgré un début de panique au début des évenements, Max a, sitôt armé, pu constater que la 3G fonctionnait toujours et qu'un sujet avait été déterré sur le Bar, ainsi que d'autres sur les forums JoL, ce qui a aussitôt contribué à le calmer. Il a signalé sa position et son état avant de se préoccuper de nouveau du monde réel. Par de patientes caresses, il a réussi à calmer aussi son chien. Après quoi, nanti de vivres et d'eau et constatant que la situation semblait s'être calmée dehors, il est prudement sorti, le chien attaché à sa ceinture et le fusil dans les mains. Progressant prudement, il a du abattre trois sombies avant d'arriver à rejoindre le regroupement armé place de la Rep', un peu avant la bataille. [/For]
S'ensuit un amas humain au visage qui doit être sale derrière la crasse, enveloppé de sombres guenilles putrides, puant malgré la neige, qui s'est extrait d'un tas de cadavres caché sous un bus à la fin de la bataille. Ses mains tiennent une arme noire compacte au canon étrange et il porte en bandoulière une sorte de besace contenant vraisemblablement ses effets.
[For=Kneda;MJ]Cid a survécu en se planquant sous une bouche d'égout qu'il utilise parfois pour dormir quand il pleut. Il est tombé sur un reste de commndo type GIGN et en a profiter pour rammasser une arme et des chargeurs correspondants. Il a fait de son mieux avec son MP5 pendant la bataille précédente, tout fier de son tir silencieux, mais il n'a pas voulu révéler sa position et a donc retenu son feu la plupart du temps. En plus, il ne sait pas changer les chargeurs et celui en cours doit être presque vide.
L'esprit obscurci de Cid peine à réaliser que le monde dont il tirait ses ressources vitales vient de s'effondrer, mais il appréhende vaguement le moment où ça se produira. [/For]
Tandis qu'un homme s'efforce de fracturer ce qui reste du pare-brise derrière lequel il est coincé, deux jeunes gens terminent d'ouvrir avec insistance la porte privée d'énergie pneumatique d'un bus dévasté et se dirigent vers le bus plié. Les deux hommes d'une vingtaine d'année sont tous deux grands, bruns, l'un barbu et l'autre pas. Ils tiennent tous deux un FAMAS dans les mains et des chargeurs déforment leurs poches. Ils ont tous les deux un sac à dos et l'un deux porte en bandoulière quelque chose qui ressemble à une malette de premiers soins de l'armée de terre. Le barbu porte un barre de fer à l'épaule et de celle de son compagnon dépasse la poignée d'une épée.
[For=Nosferatu Alucard;Djabal;MJ]Cédric et Morgan ont géré en souplesse le moment critique de la contamination grace à un peu d'intuition et une bonne étoile bien disposée, le première leur ayant fait flairer les problèmes, la seconde offrant une barre de fer dépassant d'un container de poubelles et la vitrine d'un coutelier à moins de dix mètres. Une épée écossaise et la barre de fer ont permis de couvrir la retraite jusqu'à l'arrière boutique d'une épicerie miniature, où les compères sont restés à s'épouvanter l'un l'autre en imaginant les conséquences non immédiates de leur situation jusqu'à ce que les choses se calment dehors. Ils sont sortis après avoir embarqués quelques vivres. Remontant prudement une rue peu fréquentée, puis un large escalier, ils se sont servis rapidement sur les restes macabres d'un groupe de soldats et n'ont pas lésinés sur les chargeurs, avant de reprendre leurs progression vers une large place sur laquelle ils ont rejoint un groupe de mlitaires qui rassemblaient des survivants pour faciliter la défense et l'exfiltration. [/For][For=Nosferatu Alucard;MJ]Cédric a du rassembler tout son courage pour résister à la terreur que lui a inspiré l'idée qu'il puisse en être partout comme ici. Il a fait de son mieux pour refouler ces émotions et se concentrer sur sa survie, mais sait fort bien qu'il va devoir trouver un moment pour décompresser, bientôt. Ce qui semble un doux rêve. [/For][For=Djabal;MJ]Morgan s'est caché derrière un mur d'indifférence pour ne pas réfléchir à ce qu'il advenait du reste du monde et de demain, mais il est tendu comme un arc, rongé par son combat silencieux, il veut et ne veut pas savoir. Telles que les choses sont parties, l'arc rompra bientôt. [/For]
Le bruit d'un pare-brise qui capitule, puis des bruits métaliques sourds troublent le silence, et enfin un juron lorsque l'acteur trébuche sur le décor. Il s'agit encore d'un grand bonhomme, qui, à en juger par les holsters visibles, utilise au moins six pistolets. Il porte un sac à dos noir sur des vêtements sombres et chaud, mais sa tenue lui laisse visiblement une grande liberté de mouvement. Dans son dos est aussi un long fusil doté d'un rêve de lunette. Malgré la plaque de verglas de l'instant d'avant, la grâce de son pas laisse transparaitre sa grande souplesse.
[For=Didjor;MJ]Nadak est frigorifié. Vraiment, il a déja eu froid, mais là, ça ne va pas, il tremble comme une feuille malgré son blouson. Faire de l'escalade est complètement hors de question. Heureusement que l'adrénaline coulait à flot tout à l'heure, quand cette brave grand-mère et son caniche se sont transformés en monstres baveux et bondissants, Nadak s'étant alors échappé de sa situation délicate en sortant par la fenètre dudeuxième étage. Bizarrement, maintenant qu'il y repense, il a commencé à avoir froid, très froid, en regardant ce qui se passait dans la rue commerciale, quelques mètres plus bas, là où la vioque et son clebs venaient de se splasher (et de se relever). Le spectacle de la masse grouillante et hurlante composée d'humains, de monstres et de morceaux desdits a fortement ébranlé Nadak, qui est resté dix minutes à sangloter sur son mur avant de se reprendre, et a déja du prendre violement sur lui à trois reprises pour contenir des fous rires ou des crises de nerds à proximité de zombies.
Le yamakazi a arrêté de faire l'araignée en remarquant un tas de cadavres en uniformes noirs, qu'il a identifié comme des membres d'une unité civil d'intervention d'urgence. Quelqu'un était vraisemblablement déja passé, mais Nadak a ramassé tous les pistolets, un sac à dos, beaucoup de chargeurs et s'est rêvé un instant en sniper en découvrant un fusil à lunette. Ses pérégrinations prudents l'ont finalement conduit jusqu'à un groupe de réfugiés sur la place de la République. [/For]
Au même moment, sortie sans bruit de derrière la portière qui la protégeait durant la bataille, s'insère dans le groupe une jeune fille aux mouvements vifs, vêtue chaudement et chaussée de bottines, dans ses mains un FAMAS. Malgré l'écharpe qui lui recouvre la partie inférieure du visage et sa capuche à simili-fourrure, elle est visiblement presque à bout de nerfs.
[For=Seb;MJ]Amanda a été tirée du lit par le bruit de la porte de son appartement que quelqu'un sortait de ses gonds. Quelques secondes plus tard, un monstres hurlant ressemblant un peu au chat de sa voisine a surgi dans sa chambre et essayé de lui sauter au visage. Un ramasse poussière saisi au vol (en l'occurence une batte de base-ball, le hasard fait parfois bien les choses) a fracassé le cors de l'ex-chat par le milieu, l'envoyant valser contre un mur un instant avant l'entrée en scène de sa maîtresse, qui s'est montrée plus entpetée, mais à fini par rencontrer un mur aussi. Amanda a décidé de quitter la ville pour aller là où il n'y aurait personne, donc pas de zombies, et s'est habillées avant de sortir en emportant quelques objets qui lui semblaient pouvoir servir. Après avoir ramassé son arme et abattu deux zombies, elle a été repérée par un soldat qui l'a emmenée auprès d'un groupe de réfugiés protégés par des soldats. [/For]
Arrive enfin un jeune homme corpulent qui a du négocier de délicates manoeuvres pour passer certains tas de zombies avec sa moto. Sa hanche droite accueille ce qui semble être le holster d'un gros pistolet et il porte en bandoulière un FAMAS.
[For=Lex;MJ]Lex a eu la chance de se trouver à proximité directe d'une armurerie au moment critique, armurerie dans laquelle il s'est brièvement introduit après s'être caché derrière des poubelles le temps que les monstres alentours l'oublient et que l'armurier sorte en bavant. Ressortant armé d'un sabre et d'une carte de la région (les rateliers s'étant avérés inviolables et l'armurier ayant levé le camp en emportant ses clefs), Lex s'est juché sur sa moto et a progressé de son mieux vers la première voie de circulation importante à disposition. Prenant la direction de l'autoroute, il s'est cru tiré d'affaire avant que divers carambolages et groupes de zombies le déroutent tant et si bien qu'il a finalement été contraint à faire demi-tour jusqu'à la Place de la République, où il a retrouvé des militaires protégeant des civils. Ayant interrompu par deux fois sa folle cavalcade, il s'est armé d'un Mk23 .357 SOCOM et d'un FAMAS. N'ayant pas oublié Resident Evil, il n'a pas oublié non plus les munitions.[/For]
Les trois soldats prennent position pour une efficacité optimale, et les deux qui sont habillés normalement ôtent le masque qui dissimulait jusque là le bas de leur visage.
[For=Vlad Tepesch;Drags;lubaq;MJ]Les deux soldats et demi sont tout ce qu'il reste de leur escouade, dont le lieutenant est tombé parmi les premiers, et sont franchement secoués. Ils ont tous vu des hommes qu'ils connaissaient tomber sous les coups des monstres et devenir comme eux, nombres de malheureux choisissant de se donner la mort dès lors qu'ils se découvraient touchés, les autres devant être abattus comme futurs ennemis... Les soldats sont indemnes, mais physiquement seulement.
Le dernier message qu'ils aient reçu de leur hiérarchie leur annonçait que Metz était incontrôlable et qu'elle devait être abandonnée. Les soldats qui recevaient le message devaient quitter la ville en portant assistance aux civils dans la mesure de leurs moyens. [/For][For=Vlad Tepesch;MJ]L'adjudant JC a pris le commandement de ce qu'il lui reste d'hommes, un démolisseur et un photographe... Au moins les munitions ne manqueront pas.
JC a été fortement ébranlé par la mort du lieutenant, sous les ordres duquel il servait depuis longtemps et qu'il considérait comme le meilleur officier qui soit. Avoir du l'abattre soi-même n'a évidement pas arrangé les choses. L'adjudant se raccroche à son expérience de ce genre de douleur pour tenir son rang et ne pas craquer. [/For][For=Drags;MJ]Le sergent Calon pense encore qu'il est invincible, mais il a du se résoudre à attribuer pour partie son invulnérabilité à une bonne dose de chance, car il sait qu'il serait mort lors de la bataille précédente si les zombies s'étaient intéressés à lui plutôt qu'à un autre. En revanche, il est pour l'heure persuadé plus que jamais de faire oeuvre utile en aidant le plus de personnes possibles à quitter la ville. [/For][For=lubaq;MJ]Contrairement à celle de ses collègues, la raison de la recrue 13458 n'a pas même chancelé en asimilant la nouvelle donne locale, se contentant de gromeller au vu du monceau de nouveaux paramètres à prendre en compte pour se sortir de là. Par exemple, il se dit que ces autobus avec leur gros moteurs pourraient être utiles à autre chose qu'à abriter du vent. [/For]
Les survivants se regroupent dans l'abri précaire qu'offre le bus en porte-feuilles et restent une bonne minute à se regarder les yeux dans les yeux avant qu'une rafale de vent glacial ne les rappelle à la réalité.
Chacun consulte sa montre ou estime le temps écoulé depuis le début de cette folie. Une grosse demi-heure, trente-huit minutes, un quart d'heure ou une heure, selon les cas. Mais ça pourrait aussi bien remonter au passage du millénaire, car ils ne seront plus jamais les mêmes. Ils ont tous vus des personnes qu'ils connaissaient, tranformées, devenus des monstres hideux de haine, glabres et gris, avides de mordre à la gorge avec leurs grosses canines jaunes. Les quelques amateurs de films du genre ont été outrés un moment, ces zombies ne veulent pas respecter la coutumes et se montrent notablement plus rapides que leurs originaux. Une grand-mère a tué deux soldats avec son déambulateur avant de succomber sous les tirs, pendant la bataille.
La neige tombe trente bonnes secondes tandis que tout le monde savoure le silence, avant qu'un aboiement rompe le charme, déclenchant un appel radio suivi de deux brèves réponses, et un début de mouvement, qui finit par faire boule de neige.
Les survivants quittent leurs points de tirs et se rassemblent au milieu du bitume normalement parcouru par de vastes bus jaunes, achevant les zombies faisant encore mine de gigoter. Pendant leur progression, les soldats se rassemblent, celui au pantalon noir se tournant vers les survivants pour les prendre en photo, les deux autres, en camouflage, suivant en marche arrière en couvrant les alentours, malgré les cadavres. Par signes, le plus petit contraint tout le monde à se déplacer vers un bus plié en deux, pour profiter de sa protection sur deux flancs (surtout contre le vent mordant, de fait).
Répondent à l'appel, outre les deux autres soldats qui répètent les signes tout en se dirigeant vers le dit bus, sept personnes, un chien et une moto (l'un tirant, l'autre poussée).
Derrière le chien, un respectable berger allemand, suit un grand bonhomme basané aux cheveux bruns nattés. Chaudement habillé d'un confortable manteau d'hiver gris sombre, il porte un sac à dos dont dépasse la crosse d'un fusil. Sa ceinture ceint une épée batarde dans un foureau fantaisie et la crosse d'un pistolet dépasse d'un holster de l'autre coté. Il semble qu'il y attache également une sacoche contenant un petit ordinateur qu'il se met à consulter après avoir attaché la laisse du chien à sa ceinture.
[For=Maniel;MJ]Dès le début du phénomène (début auquel il a survécu plus ou moins par chance), alors qu'ils se trouvait dans la rue qui monte de la fac vers la cathédrale, Max a pensé à dévaliser une armurerie, dans laquelle il a trouvé un fusil à pompe et des cartouches de .12, ainsi que du matériel pour augmenter son potentiel de survie. Une belle épée qui ne s'était pas cassée contre le comptoir a été ajoutée à l'ensemble et hardi petit. La laisse de Tek a été remplacée par une corde dont son maître tient les deux extrémités. Il lui suffit d'en lacher une pour libérer le chien.
Malgré un début de panique au début des évenements, Max a, sitôt armé, pu constater que la 3G fonctionnait toujours et qu'un sujet avait été déterré sur le Bar, ainsi que d'autres sur les forums JoL, ce qui a aussitôt contribué à le calmer. Il a signalé sa position et son état avant de se préoccuper de nouveau du monde réel. Par de patientes caresses, il a réussi à calmer aussi son chien. Après quoi, nanti de vivres et d'eau et constatant que la situation semblait s'être calmée dehors, il est prudement sorti, le chien attaché à sa ceinture et le fusil dans les mains. Progressant prudement, il a du abattre trois sombies avant d'arriver à rejoindre le regroupement armé place de la Rep', un peu avant la bataille. [/For]
S'ensuit un amas humain au visage qui doit être sale derrière la crasse, enveloppé de sombres guenilles putrides, puant malgré la neige, qui s'est extrait d'un tas de cadavres caché sous un bus à la fin de la bataille. Ses mains tiennent une arme noire compacte au canon étrange et il porte en bandoulière une sorte de besace contenant vraisemblablement ses effets.
[For=Kneda;MJ]Cid a survécu en se planquant sous une bouche d'égout qu'il utilise parfois pour dormir quand il pleut. Il est tombé sur un reste de commndo type GIGN et en a profiter pour rammasser une arme et des chargeurs correspondants. Il a fait de son mieux avec son MP5 pendant la bataille précédente, tout fier de son tir silencieux, mais il n'a pas voulu révéler sa position et a donc retenu son feu la plupart du temps. En plus, il ne sait pas changer les chargeurs et celui en cours doit être presque vide.
L'esprit obscurci de Cid peine à réaliser que le monde dont il tirait ses ressources vitales vient de s'effondrer, mais il appréhende vaguement le moment où ça se produira. [/For]
Tandis qu'un homme s'efforce de fracturer ce qui reste du pare-brise derrière lequel il est coincé, deux jeunes gens terminent d'ouvrir avec insistance la porte privée d'énergie pneumatique d'un bus dévasté et se dirigent vers le bus plié. Les deux hommes d'une vingtaine d'année sont tous deux grands, bruns, l'un barbu et l'autre pas. Ils tiennent tous deux un FAMAS dans les mains et des chargeurs déforment leurs poches. Ils ont tous les deux un sac à dos et l'un deux porte en bandoulière quelque chose qui ressemble à une malette de premiers soins de l'armée de terre. Le barbu porte un barre de fer à l'épaule et de celle de son compagnon dépasse la poignée d'une épée.
[For=Nosferatu Alucard;Djabal;MJ]Cédric et Morgan ont géré en souplesse le moment critique de la contamination grace à un peu d'intuition et une bonne étoile bien disposée, le première leur ayant fait flairer les problèmes, la seconde offrant une barre de fer dépassant d'un container de poubelles et la vitrine d'un coutelier à moins de dix mètres. Une épée écossaise et la barre de fer ont permis de couvrir la retraite jusqu'à l'arrière boutique d'une épicerie miniature, où les compères sont restés à s'épouvanter l'un l'autre en imaginant les conséquences non immédiates de leur situation jusqu'à ce que les choses se calment dehors. Ils sont sortis après avoir embarqués quelques vivres. Remontant prudement une rue peu fréquentée, puis un large escalier, ils se sont servis rapidement sur les restes macabres d'un groupe de soldats et n'ont pas lésinés sur les chargeurs, avant de reprendre leurs progression vers une large place sur laquelle ils ont rejoint un groupe de mlitaires qui rassemblaient des survivants pour faciliter la défense et l'exfiltration. [/For][For=Nosferatu Alucard;MJ]Cédric a du rassembler tout son courage pour résister à la terreur que lui a inspiré l'idée qu'il puisse en être partout comme ici. Il a fait de son mieux pour refouler ces émotions et se concentrer sur sa survie, mais sait fort bien qu'il va devoir trouver un moment pour décompresser, bientôt. Ce qui semble un doux rêve. [/For][For=Djabal;MJ]Morgan s'est caché derrière un mur d'indifférence pour ne pas réfléchir à ce qu'il advenait du reste du monde et de demain, mais il est tendu comme un arc, rongé par son combat silencieux, il veut et ne veut pas savoir. Telles que les choses sont parties, l'arc rompra bientôt. [/For]
Le bruit d'un pare-brise qui capitule, puis des bruits métaliques sourds troublent le silence, et enfin un juron lorsque l'acteur trébuche sur le décor. Il s'agit encore d'un grand bonhomme, qui, à en juger par les holsters visibles, utilise au moins six pistolets. Il porte un sac à dos noir sur des vêtements sombres et chaud, mais sa tenue lui laisse visiblement une grande liberté de mouvement. Dans son dos est aussi un long fusil doté d'un rêve de lunette. Malgré la plaque de verglas de l'instant d'avant, la grâce de son pas laisse transparaitre sa grande souplesse.
[For=Didjor;MJ]Nadak est frigorifié. Vraiment, il a déja eu froid, mais là, ça ne va pas, il tremble comme une feuille malgré son blouson. Faire de l'escalade est complètement hors de question. Heureusement que l'adrénaline coulait à flot tout à l'heure, quand cette brave grand-mère et son caniche se sont transformés en monstres baveux et bondissants, Nadak s'étant alors échappé de sa situation délicate en sortant par la fenètre dudeuxième étage. Bizarrement, maintenant qu'il y repense, il a commencé à avoir froid, très froid, en regardant ce qui se passait dans la rue commerciale, quelques mètres plus bas, là où la vioque et son clebs venaient de se splasher (et de se relever). Le spectacle de la masse grouillante et hurlante composée d'humains, de monstres et de morceaux desdits a fortement ébranlé Nadak, qui est resté dix minutes à sangloter sur son mur avant de se reprendre, et a déja du prendre violement sur lui à trois reprises pour contenir des fous rires ou des crises de nerds à proximité de zombies.
Le yamakazi a arrêté de faire l'araignée en remarquant un tas de cadavres en uniformes noirs, qu'il a identifié comme des membres d'une unité civil d'intervention d'urgence. Quelqu'un était vraisemblablement déja passé, mais Nadak a ramassé tous les pistolets, un sac à dos, beaucoup de chargeurs et s'est rêvé un instant en sniper en découvrant un fusil à lunette. Ses pérégrinations prudents l'ont finalement conduit jusqu'à un groupe de réfugiés sur la place de la République. [/For]
Au même moment, sortie sans bruit de derrière la portière qui la protégeait durant la bataille, s'insère dans le groupe une jeune fille aux mouvements vifs, vêtue chaudement et chaussée de bottines, dans ses mains un FAMAS. Malgré l'écharpe qui lui recouvre la partie inférieure du visage et sa capuche à simili-fourrure, elle est visiblement presque à bout de nerfs.
[For=Seb;MJ]Amanda a été tirée du lit par le bruit de la porte de son appartement que quelqu'un sortait de ses gonds. Quelques secondes plus tard, un monstres hurlant ressemblant un peu au chat de sa voisine a surgi dans sa chambre et essayé de lui sauter au visage. Un ramasse poussière saisi au vol (en l'occurence une batte de base-ball, le hasard fait parfois bien les choses) a fracassé le cors de l'ex-chat par le milieu, l'envoyant valser contre un mur un instant avant l'entrée en scène de sa maîtresse, qui s'est montrée plus entpetée, mais à fini par rencontrer un mur aussi. Amanda a décidé de quitter la ville pour aller là où il n'y aurait personne, donc pas de zombies, et s'est habillées avant de sortir en emportant quelques objets qui lui semblaient pouvoir servir. Après avoir ramassé son arme et abattu deux zombies, elle a été repérée par un soldat qui l'a emmenée auprès d'un groupe de réfugiés protégés par des soldats. [/For]
Arrive enfin un jeune homme corpulent qui a du négocier de délicates manoeuvres pour passer certains tas de zombies avec sa moto. Sa hanche droite accueille ce qui semble être le holster d'un gros pistolet et il porte en bandoulière un FAMAS.
[For=Lex;MJ]Lex a eu la chance de se trouver à proximité directe d'une armurerie au moment critique, armurerie dans laquelle il s'est brièvement introduit après s'être caché derrière des poubelles le temps que les monstres alentours l'oublient et que l'armurier sorte en bavant. Ressortant armé d'un sabre et d'une carte de la région (les rateliers s'étant avérés inviolables et l'armurier ayant levé le camp en emportant ses clefs), Lex s'est juché sur sa moto et a progressé de son mieux vers la première voie de circulation importante à disposition. Prenant la direction de l'autoroute, il s'est cru tiré d'affaire avant que divers carambolages et groupes de zombies le déroutent tant et si bien qu'il a finalement été contraint à faire demi-tour jusqu'à la Place de la République, où il a retrouvé des militaires protégeant des civils. Ayant interrompu par deux fois sa folle cavalcade, il s'est armé d'un Mk23 .357 SOCOM et d'un FAMAS. N'ayant pas oublié Resident Evil, il n'a pas oublié non plus les munitions.[/For]
Les trois soldats prennent position pour une efficacité optimale, et les deux qui sont habillés normalement ôtent le masque qui dissimulait jusque là le bas de leur visage.
[For=Vlad Tepesch;Drags;lubaq;MJ]Les deux soldats et demi sont tout ce qu'il reste de leur escouade, dont le lieutenant est tombé parmi les premiers, et sont franchement secoués. Ils ont tous vu des hommes qu'ils connaissaient tomber sous les coups des monstres et devenir comme eux, nombres de malheureux choisissant de se donner la mort dès lors qu'ils se découvraient touchés, les autres devant être abattus comme futurs ennemis... Les soldats sont indemnes, mais physiquement seulement.
Le dernier message qu'ils aient reçu de leur hiérarchie leur annonçait que Metz était incontrôlable et qu'elle devait être abandonnée. Les soldats qui recevaient le message devaient quitter la ville en portant assistance aux civils dans la mesure de leurs moyens. [/For][For=Vlad Tepesch;MJ]L'adjudant JC a pris le commandement de ce qu'il lui reste d'hommes, un démolisseur et un photographe... Au moins les munitions ne manqueront pas.
JC a été fortement ébranlé par la mort du lieutenant, sous les ordres duquel il servait depuis longtemps et qu'il considérait comme le meilleur officier qui soit. Avoir du l'abattre soi-même n'a évidement pas arrangé les choses. L'adjudant se raccroche à son expérience de ce genre de douleur pour tenir son rang et ne pas craquer. [/For][For=Drags;MJ]Le sergent Calon pense encore qu'il est invincible, mais il a du se résoudre à attribuer pour partie son invulnérabilité à une bonne dose de chance, car il sait qu'il serait mort lors de la bataille précédente si les zombies s'étaient intéressés à lui plutôt qu'à un autre. En revanche, il est pour l'heure persuadé plus que jamais de faire oeuvre utile en aidant le plus de personnes possibles à quitter la ville. [/For][For=lubaq;MJ]Contrairement à celle de ses collègues, la raison de la recrue 13458 n'a pas même chancelé en asimilant la nouvelle donne locale, se contentant de gromeller au vu du monceau de nouveaux paramètres à prendre en compte pour se sortir de là. Par exemple, il se dit que ces autobus avec leur gros moteurs pourraient être utiles à autre chose qu'à abriter du vent. [/For]
Les survivants se regroupent dans l'abri précaire qu'offre le bus en porte-feuilles et restent une bonne minute à se regarder les yeux dans les yeux avant qu'une rafale de vent glacial ne les rappelle à la réalité.