[Les Royaumes Oubliés] Erhiien Whisperwind

[Lex]

Nom : Whisperwind

Prénom : Ehriien

Sexe : M

Age : 19 ans

Race : Demi-Elfe

Alignement : Neutre bon

Dieu Tutélaire : Sehanine Archelune

Métier : Apprenti chantelame (Barde)

Taille : 1m76

Poids : 68 kgs

Arme préférée : Epée longue

Styles de combat : Style elfique, mouvement fluide comme une danse, rapide et précis

Cheveux : Noir comme l'Obsidienne, mi-long

Habits : Bottes de cuir - Pantalon (brun) - Chemise (verte) - Cape avec capuche (grise foncée)

Bijoux : Une amulette : simple anneau d'or gravé (en elfique - "Que les murmures du Vent te guident") passé dans un fil de cuir - un anneau d'argent avec un cygne gravé dessus

Qualités principales : Honnête - Généreux

Principaux défauts : Manque de confiance en soit

Equipement : Armure de cuir clouté - Armes - Havresac - Carnet de voyage / Grimmoire - Bourse - Couverture - Quelques vivres

Armes : Epée longue - Dague - Arc court elfique

Signes particuliers : [aucuns]

Histoire : Né de mère elfe qui mourru en couche et d'un père humain qu'il n'a jamais connu, Ehriien fut élevé par son oncle (le frère de sa mère).
Il appris le combat, les arts, et les rudiments de la magie. Sa vie aurait put être normale, mais étant demi-elfe, il subit dés son plus jeune age les railleries de ses camarades et la méfiances des adultes.
Néanmoins, son oncle s'occupa toujours de lui et lui appris nombre de chose. Mais pour ces 17 ans, ce dernier remis à Ehriien un coffre de bois contenant l'anneau d'or de sa mère, une armure de cuir cloutée ainsi qu'une épée longue finnement travaillée.
"Le temps est venu pour toi de voler de tes propres ailes. Je ne te chasse pas, j'ai simplement vu dans tes yeux que tu ne tarderais plus longtemps ici. Prends alors le contenu de ce coffre comme cadeau d'adieu." Ce fut les derniers mots de son oncle.
Depuis, Ehriien voyage à travers le monde, apportant un peu d'aide où il peut et recherchant un but à sa vie.

Compétences : Langues [ Elfique (contemporain et ancien) - Commun ] - Lecture / Ecriture - Connaissances [ Contes et légendes - Générales ] - Contes / Poésie / Chant - Danse - Combat à l'épée - Tir à l'arc - Magie [ Lueures colorées - Télékinésie - Détection de la magie - Lecture de la magie ]

[Lex]

Comme je te l'ai dit, je me nomme Erhiien. J'ai été l'élève de Daemhynor Whisperwind, d'ailleurs l'épée que je porte est un cadeau de mon maitre. Son nom ne te dit peut être pas grand chose, mais il est l'un des meilleurs chantelame de tout les royaumes.

Erhiien se passe ensuite une main dans les cheveux, puis il continue.

Ce que je vais te dire vas sans doute te paraittre bizare et incroyable... Il reprend son souffle un instant, comme pour accroché le barbare à ses lèvres. Il en profite pour glisser ses dés dans son sac.

Erhiien se lève et commence à marcher dans l'auberge. Il parle assez fort pour que Mangemort l'entende, ainsi que la plus part des personnes présentes.

Un jour, poussé par une brise, simplement guidé par les vents, je suis parti sur les sentiers de l'aventure.
Traversant monts et vaux, je me suis retrouvé en un endroit des plus magnifique. Forêt verdoyante, rivière aux reflets d'argents et le doux chants des oiseaux. Le soleil timide se couchait alors que la lune montrait ses rondeurs exquises.
C'est alors qu'en un fracquat effroyable, tout les oiseaux se tûrent...... et s'envolèrent.

Erhiien mîme la surprise, cherchant du regard ce qui peut bien arriver.

C'est alors que, plus vite qu'il ne faut pour le dire, un ogre des plus massifs se dressait face à moi, de l'autre côté de la rivière...
Il devait bien faire quattre mètres de haut avec la tête de l'emploi. Enfin, la gueule de l'emploi pour les légions du Seigneur Noir, bien entendu !

Le demi-elfe fait alors la pire grimace qu'il connait, tire la langue et prend un air de demeurré.

Le monstre se saisit alors de son marteau de guerre et me charge.
N'écoutant que mon courrage, je dégaine mon épée et me prépare à combattre.
Tout en parlant, il sort l'épée du fourreau et fait quelques moulinets en l'aire puis prend une garde basique.
Après une courte réflexion... Il faut dire que le bestiau se déplaçait vite... Je me suis dis qu'il vallait mieux éviter le coup qui venait que d'essayer de le bloquer.
Erhiien fait un bon de côté, rapide, précis et surtout gracieu.
Vu sa taille, mon adversaire possédait une allonge bien supérieure à la mienne. Sacré désavantage...

Le demi-elfe, attrape vite fait sa chope, boit un peu, puis continue son histoire :
Cet ogre, bien que rapide et agile, cachait encore son jeu. Car le pire restait à venir !......
Notre "ami" commence à articuler des mots sommaires, qui s'enchaînent, qui s'enroulent et bien sûre qui finissent par lancer un sort... Enfin, une boule de feu pour être précis.
Tout semblait fini me direz vous... Eh bien non ! La preuve, je suis toujours là !

Il rit un peu de sa bétise, reprend son sérieu et enchaine sur la suite :
J'évitais alors le projectile d'une suite de saltos arrières... Et repart à la charge !
Feinte à gauche, feinte à droite... J'évite les coups de mon adversaire et me rapproche de lui. Erhiien avance dans l'auberge comme s'il se battait contre un ennemi imaginaire. C'est alors qu'il recommence à brailler ses mots de pouvoirs. Ahahah.... Je ne me laisserai pas prendre deux fois à ton petit jeu !
Je lui coupe alors l'arrière d'un genou, déconcentrant alors le monstre et le fesant mettre genou à terre. J'enchaine alors les coups de pointes, d'estocs, de pointes, d'estocs.... Et fini par lui trancher la tête !

Le demi-elfe léve alors les bras en signe de victoire, et salue l'assistance. Merci, merci...

Il retourne ensuite à sa table, discuter avec Mangemort.
Alors, ça t'en dis un peu plus sur moi ?

[Lex]

Souvenir de l'arrivee a Chateau Suif...
Merci Bunker pour la description.

En passant au sommet de la colline verdoyante de la côte de Epées, Ehrrien aperçoit avec soulagement, les tours blanches de Chateau Suif.
Enfin...
Pas que le voyage avec Mélinda depuis Lunargent ait été ennuyant, loin de là, mais à force de chevauché toute la journée, Ehrrien commence à ne plus sentir ses fesses.
Néanmoins qu'elle bonheur de voyager à ses côtés. Ils avaient tant de choses à se raconter après les dix années passées loin l'un de l'autre. Les longues journées passées à chevaucher ensemble n'avaient pas réussies à éteindre la soif qu'ils avaient de réapprendre à se connaitre l'un et l'autre. Sans compter des soirées près du feu sous les épaisses peau d'ours où....
Arrêtes de penser à ça bordel...
Bref tout ça pour dire qu'ils ont fait un long voyage et qu'ils arrivent enfin à destination :
La citadelle de la Science. Mélinda a apparemment un livre a récupéré là-bas pour le compte de l'Ordre Profane.

Arrivés à une dizaine de mètres de la porte, ils descendent tous deux de cheval et Mélinda tend sans un mot un vieux livre poussiéreux au garde en armure qui se tient derrière la herse. Celui-ci disparait à l'intérieur de l'enceinte et revient quelques instants plus tard. La herse se lève lentement.
Bienvenue à Chateau Suif messieurs dame.

Ehrrien s'avance conscient de la chance qu'il a de pénétrer dans un endroit aussi symbolique de la citadelle d'Oghma.

Un gamin en habit de paysan s'approche.
Je peux m'occuper de vos chevaux si vous voulez. Demande-t-il avec sa voix fluette.
Mélinda et Ehrrien lui tendent les licols avec une pièces et le garçon s'en va en sifflotant en tirant derrière lui les deux chevaux de selle vers l'écurie un peu plus loin d'où s'échappe les hennissement d'autres équidés.

Ils avancent encore un peu et se retrouve dans les jardins à l'intérieur de la deuxième enceinte. Mélinda s'arrête.
Je vais me mettre tout de suite sur mes recherches tu peux aller réserver un chambre à l'auberge.
Ehrrien a à peine le temps d'acquiecer qu'elle dépose un léger baiser sur ses lèvres et s'éloigne.
Merci t'es un amour.
Ehrrien fait le tour de lui même pour explorer les environs : quelques moines parcourent les aller des jardin avec sérénité. Un peu plus loin, un groupe de spalmodieurs en cercle répètent inlassablement les paroles sacrées d'Alaundo le sage, le fondateur de Chateau Suif. Un groupe de garde passe en marchant au pas. Dans un coin, assit sur un banc une véritable montagne de muscles, torse nu malgré le froid, aiguise une hache le regard perdu dans ses pensées.