Nom : Mislaët
Race : Polis Massan
Occupation habituelle : Erudit/inventeur/rebouteux
Age : 137 ans.
L'est beau? : Faites-vous votre avis :
http://www.starwars.com/databank/specie ... vie_bg.jpg
Mais pour l'un des siens, oui, il est exceptionnellement beau, un vrai tombeur. Dommage que les siens soient tous planqués sur un caillou stérile à l'autre bout du monde.
L'est bon pour l'asile? : Ca se discute. Pas completement sans doute, mais faute d'une base d'étude (donc d'un compatriote), ptet bien qu'il est normal.
L'est un riche proprio? : Plus qu'au-dessus. Mais "riche proprio" est exagéré.
Il possède un fort beau vaisseau (là encore, ça se discute), de quoi inventer des trucs, et de nombreuses bases de données. Et de quoi faire fonctionner tout ça.
Plus succintement :
- Son vaisseau/maison/animalerie/atelier/bazar volant/tas de boulons en formation serrée, qui dispose de sa propre catégorie dans la présente fiche, plus bas
- Un Fusil Blaster Firespray DL-87, avec une vibro-baïonette rétractable, pour nettoyer sa passerelle le cas échéant
- Des tonnes d'outils de douzaines de civilisations, un nombre certain d'entre eux faisant double, voire triple emploi
- Equipement médical portatif tout au plus correct
- Des blocs de données, plein, vraiment plein. Les petits sont presques tous vides, mais les plus gros sont installés à demeure dans le vaisseau et composent sa banque de données.
- Trois comparses (enfin, deux et demi), comme expliqué dans la section "L'Equipage"
- Une combinaison envirronementale, pour pouvoir voir le monde même quand il y a du vent et de la poussière.
- D'autres merdes ne nécessitant pas vraiment d'être précisément listées.
- Ah, si, un translateur pour pouvoir jacasser en basic.
Le Vaisseau :
Pour comprendre ce qui va suivre, il est nécessaire de lire la fiche du transport Ithulien.
Le vaisseau dont il est question ici est construit en gros sur le même principe, mais à partir d'une espèce plus petite, qui ressemble à une abeille (chose qu'à priori, vous avez déja tous vu). La taille totale du vaisseau ailes déployées est de 92m. Ailes repliées, ça augmente un peu, les ailes dépassent à l'arrière.
Ces ailes offrent au Prryshck (car tel est son nom) une honnète vitesse subluminique, équivalent peu ou prou à celle d'un Y-Wing en attente de révision (on me souffle dans l'oreillette que tous les Y-Wing ne font jamais rien d'autre qu'attendre leur révision, mais la remarque reste valable), et un coefficient hyperluminique de 2. Un hyperpropulseur plus classique (de coeff 1) se trouve dans l'abdomen de l'abeille.
Les ailes ont pour principal avantage de permettre une invraisemblable manoeuvrabilité (mais alors on perd pas mal de vitesse aux grandes incidences), mais pour inconvénient d'être foutrement longues à réparer quand on tire dessus (mais les trous ne font pas trop mal aux performances, donc ça va).
Le corps du Prryshck constitue sa propre structure (i.e. ça tient debout tout seul), mais cette dernière est renforcée classiquement, pour compenser le fait que la carapace est morte depuis un moment quand même. De chouettes boucliers viennent s'ajouter à la sauce quand celle-ci se gate.
Dans la tête, on trouve le poste de pilotage, la chambre du proprio, les systèmes de détection et le "sas d'assaut", c'est à dire la sortie avant, qui porte son nom à cause des mandibules de feu l'abeille, qui permettent en théorie d'ouvrir une entrée dans une coque non consentante. En théorie toujours, ça marche bien, mais Mislaët n'a jamais eu l'utilité d'essayer.
Le thorax contient essentiellement la complexe mécanique des pattes (en bas) et des ailes (en haut, oui). Sur le pont médian, c'est à dire suspendu à peu près au milieu, on trouve une salle de repos avec un plafond de cathédrale (d'ailleurs, c'est très joli en haut, Mislaët est une manière d'artiste dans son genre quand il veut) et quelques chambres pour d'éventuels passagers. Le squat du Gizka se trouve aussi quelque part dans le coin.
L'abdomen, enfin, est la section la plus grosse du vaisseau et contient en gros le reste, c'est à dire les soutes, l'infirmerie, les ateliers (qui bouffent une place folle), et quelques autres trucs, comme les feux de signalisation arrière. L'aiguillon, bien présent, peut sans doute servir d'arme si on vole en marche arrière, mais est principalement utilisé en tant que système d'amarrage quand il y a du vent, et parfois en tant qu'amarre pour faire du remorquage. On y trouve aussi la large sortie arrière, qui permet d'embarquer pas mal de trucs si nécessaire.
Les pattes et les ailes ressemblent à ce qu'elles sont, et n'emportent rien à part des loupiottes, pour faire des signaux, se faire voir ou éclairer, selon.
L'armement du vaisseau est assez conséquent pour ce qui n'est jamais qu'un transport, du fait des habitudes exploratrices de son propriétaire. Il se compose donc :
- de tourelles quad-lasers (5) qui possèdent un système de visée autonome, mais peuvent être utilisées manuellement.
- de tourelles quad-ions (2), qui possèdent les mêmes caractéristiques que leurs cousines laser.
- d'un canon à ion frontal, récupéré sur un Croiseur Corsaire qui voulait se payer cette grosse mouche.
L'Equipage :
Hormis son légitime propriétaire, le Prryshck est chargé de trois machins mobiles vivants ou non, mais faisant preuve chacun d'une certaine autonomie.
- Le premier est encore à peu près normal, il s'agit de D6R27-F59P, un droïde de série R6 qui a la (mal)chance d'être la propiété de Mislaët depuis les débuts spatiaux de ce dernier, et est donc doté de fort nombreuses modifications dont aucune ne devait être prévue par ses concepteurs, telles ce superbe balais gratteur de toiles d'araignées rotatif à poils en brosse.
- Le second ne choquera pas non plus les spationautes expérimentés (ou les joueurs de KOTOR), car il s'agit d'un Gizka. Il est tout seul, et donc plutôt bienvenu car il apporte un peu de distraction à son proprio. Il a bizarrement réagi en vautrant une expérience de son maître quelques décennies plutôt et, bien qu'aucun changement visible ne se soit produit, ce fichu Gizka semble en avoir oublié son espérance de vie derrière lui. Mais il est toujours aussi peu malin. A la longue, toutefois, il peut-être considéré comme un animal apprivoisé qui obéit aux ordres (très) simples de son maître.
- Le troisième, enfin, n'a strictement rien à faire là, c'est l'avis de tout le monde à bord, mais il n'a pas consulté avant de venir. Il s'agit d'un Bogey, récupéré sur Kessel, qui a découvert comme un grand que la coque du vaisseau contenait de l'illitrium à l'état de traces, qu'il en avait pour des siècles à manger tout ça, et que par conséquent, c'était un super squat. Depuis son embarquement, Mislaët évite de se rendre sur Kessel inutilement, pour éviter une invasion aux conséquences potentiellement facheuses.