[RPI] L'assassinat de Bob [meilleur RPI 2006]

[Drags]

Arrivé au deuxième étage, Bébert tombe sur trois hommes armés de fusils mitrailleurs. Il a tout juste le temps de plonger sur le côté pour éviter une première rafale. Ces gens là veulent le tuer. Il n'a nul part où se cacher.

[Haldir de Lorien]

Bébert mitraille au niveau du bassin.

[Drags]

Bébert fait tomber un des hommes. Les autres reculent et descedent dans l'escalier, pour se protéger des tirs.
L'espace d'un instant, tout est calme.

[Haldir de Lorien]

Pas pour longtemps.
Bébert profite de leur mouvement de recul pour trouver un angle de tir farfelu et mitrailler les hommes restants.

[Drags]

Bébert est vraiment un professionnel. S'il n'avait pas déjà été des dizaines de fois dans cette situation, il n'aurait pas trouvé cet angle miraculeux, mais là, si. Il blesse mortellement les deux hommes encore debout.
Par contre, il s'est fait blesser à l'épaule gauche. Il va survivre, mais aura du mal à utiliser son bras.

[Haldir de Lorien]

Ca tombe bien, il tire du droit !
Bébert embarque au vol un fusil-mitrailleur et le prend dans sa main gauche sans chercher à pouvoir l'utiliser. Il se dirige de nouveau vers la chambre sus-ditement décrite.

[Drags]

Bébert ne pourra pas utiliser le fusil mitrailleur, ou alors sans précision aucune, à cause de son bras blessé.

Il n'y a plus de voix féminines derrière la porte, qui est entrebaillée.

[Haldir de Lorien]

Bébert ouvre vite fait et jette un oeil.

[Drags]

Chambre vide. Fenêtre ouverte.
Bébert peut voir une échelle à la fenêtre (côté extérieur évidemment), en train d'être retirée.

[Haldir de Lorien]

Bébert regarde très rapidement par la fenètre pour essayer de voir qui est descendu.

[Drags]

L'oeil vif et entraîné de Bébert lui permet d'avoir un bon aperçu de la situation extérieure en quelques instants.

Deux jeunes femmes d'environ vingt ans viennent de quitter l'échelle. Elles sont en bas, en compagnie de quelques gardes, d'une dizaine de policiers armés, dont deux qui retirent l'échelle. Les policiers commencent à encercler le bâtiment.
La famille de Bob semble se réunir dans le jardin. Il y a les deux filles, trois jeunes enfants, deux adolescents, une femme d'environ quarante ans et une vielle dame en fauteuil roulant. Ca correspond aux informations d'Herbert.
Bob, par contre, n'est pas visible à l'extérieur.

Les deux policiers qui retirent l'échelle sont les seuls à regarder vers le haut, et ils voient Herbert.

[Haldir de Lorien]

Herbert déboule dans l'escalier avec ses deux armes pointées vers le bas (plus ou moins approximativement pour le fusil).

[Drags]

Herbert arrive au premier étage. Il y a du monde en-bas. Il est repéré et ça fonce vers lui. Plusieurs policiers, certainement. Ils ne sont pas visibles.

[Haldir de Lorien]

Herbert cherche à entendre un bruit venant de l'étage où il se trouve, ou une lumière, etc.

[Drags]

Six portes. Le carnage de la salle des écrans, les trois portes voisines ouvertes, lumières allumées. Pas de bruit de ce côté, à part celui d'une tour d'ordinateur qui siffle terriblement.

L'oreille professionnelle et attentive de Bébert lui permet d'entendre le bruit d'une fenêtre qu'on ouvre dans une pièce dont la porte est fermée. La lumière y est allumée.

[Haldir de Lorien]

Bébert enfonce la porte et tire vers le haut de la fenètre avec l'uzi, braquant approximativement le fusil sur le milieu de la fenètre.

[Drags]

Bob se trouve dans la pièce. Il tient un coffre fort dans les bras, et a du mal à se déplacer avec cette lourde charge. Il a ouvert la fenêtre et est en train de l'enjamber quand Bébert débarque.
Herbert tire directement dans la tête de Bob. Celui-ci tombe par la fenêtre, s'écrase au sol, et est rapidement éclaté par le coffre qui lui arrive sur la poitrine.

Dans quelques instants, plusieurs policiers seront dans la pièce. On les entend arriver, ils hurlent "POLICE !".

Deux policiers sont dehors, du côté de la chute de Bob. Ils accourent vers lui.

[Haldir de Lorien]

Bébert Mitraille les deux policiers sur la pelouse et saute par la fenètre.

[Drags]

Les deux policiers ne sont pas touchés. Ils s'écartent et sortent leurs armes. L'un d'eux panique et s'embrouille avec son holster, il reste planté sur place à essayer d'ouvrir la chose.

Bébert arrive au sol. Il roule par terre, se fait très mal au bras gauche et perd son fusil mitrailleur. Il se relève, sa tête tourne.

[Haldir de Lorien]

Bébert vide son chargeur en une rafale circulaire autour de lui.

[Drags]

Le policier qui restait sur paniqué sur place se fait mitrailler et tombe au sol, gravement blessé. L'autre, plus vif et concentré, s'écarte et évite la rafale. Il tire.

[Haldir de Lorien]

Bébert saute sur le coté et dégaine le revolver. Il vise une fraction de seconde et vise la tête du policier.

[Drags]

Herbert sent sa joue gauche se déchirer. Il a l'impression d'une brûlure.
Son tir, par contre, est parfait. Il traverse la tête du policier, passant juste entre les deux yeux. On se croirait dans un film ou un jeu de rôle tellement c'est pas possible.

[Haldir de Lorien]

Bébert tate sa joue pour déterminer l'importance de la blessure tout en observant les alentours.

[Drags]

Les policiers sont à la fenêtre. Ils vont tirer. D'autres uniformes se font voir, arrivant des deux côtés. Ils sont assez loins.
La blessure est superficielle. La balle a frolé la joue.